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Le séminaire fait suite aussi aux consultations multilatérales mondiales, sur le même sujet, qui se sont déroulées au niveau des réseaux sociaux d’Europe, d’Amérique du Nord, d’Amérique latine et d’Afrique. Et ce, par des associations professionnelles, des investisseurs, des acteurs gouvernementaux européens, des avocats et des institutions nationales des droits de l'homme.
Ces principes directeurs font état de norme internationale, incombant la responsabilité aux États et aux entreprises, pour ce qui est de la prévention et de la lutte contre les violations des droits de l'Homme, au domaine entrepreneurial.
Le webinaire était l’occasion de faire l’évaluation des réalisations, des insuffisances et lacunes, et de tracer la feuille de route d’ici à 2030. Particulièrement, sur la contribution des institutions nationales des droits de l'homme en matière de respect de droits des ressources humaines, au niveau des entreprises.
Il est à noter que toutes ces concertations, réflexions et expériences, entre représentants du PNUD et des INDH des quatre réseaux régionaux des INDH (Philippines, France, Malaisie, Kenya, Équateur, Australie, Colombie, Rwanda, Mexique, Allemagne, Danemark, Inde, Malawi, Maroc) seront relevées, sous forme d’un rapport, au Conseil des droits de l’Homme (CDH) en juin 2021.
Pour Mme Amina Bouayach, Présidente du CNDH, qui a parlé au nom du Groupe de travail sur Business and Human Rights (GTBHR), le mois de juin marquera les dix ans d’adoption des Principes directeurs des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’Homme. Des principes qui fournissent un cadre mondial faisant autorité pour ce qui est des devoirs et des responsabilités des entreprises. Autrement dit : prévenir et lutter contre les violations des droits de l'homme liées aux entreprises.
« Les INDH, à travers les UNGPs et les instruments afférents, ont la capacité de jouer un rôle catalyseur pour inciter les entreprises à s'engager, à respecter, à faire preuve de diligence en matière de droits de l'homme et à définir un recours en cas de violations ».
La crise multidimensionnelle, fruit de la pandémie due au Covid 19, est à multiples facettes : elle a généré pertes d’emplois et vulnérabilité des travailleurs du monde des entreprises. Ces perturbations socio-économiques menacent au long terme les moyens de subsistance. D’où l’importance de mesurer l’impact de la crise sanitaire sur les droits humains des travailleurs, à même d’aider les Etats à y apporter une réponse ciblée.
Bouteina BENNANI
Ces principes directeurs font état de norme internationale, incombant la responsabilité aux États et aux entreprises, pour ce qui est de la prévention et de la lutte contre les violations des droits de l'Homme, au domaine entrepreneurial.
Le webinaire était l’occasion de faire l’évaluation des réalisations, des insuffisances et lacunes, et de tracer la feuille de route d’ici à 2030. Particulièrement, sur la contribution des institutions nationales des droits de l'homme en matière de respect de droits des ressources humaines, au niveau des entreprises.
Il est à noter que toutes ces concertations, réflexions et expériences, entre représentants du PNUD et des INDH des quatre réseaux régionaux des INDH (Philippines, France, Malaisie, Kenya, Équateur, Australie, Colombie, Rwanda, Mexique, Allemagne, Danemark, Inde, Malawi, Maroc) seront relevées, sous forme d’un rapport, au Conseil des droits de l’Homme (CDH) en juin 2021.
Pour Mme Amina Bouayach, Présidente du CNDH, qui a parlé au nom du Groupe de travail sur Business and Human Rights (GTBHR), le mois de juin marquera les dix ans d’adoption des Principes directeurs des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’Homme. Des principes qui fournissent un cadre mondial faisant autorité pour ce qui est des devoirs et des responsabilités des entreprises. Autrement dit : prévenir et lutter contre les violations des droits de l'homme liées aux entreprises.
« Les INDH, à travers les UNGPs et les instruments afférents, ont la capacité de jouer un rôle catalyseur pour inciter les entreprises à s'engager, à respecter, à faire preuve de diligence en matière de droits de l'homme et à définir un recours en cas de violations ».
La crise multidimensionnelle, fruit de la pandémie due au Covid 19, est à multiples facettes : elle a généré pertes d’emplois et vulnérabilité des travailleurs du monde des entreprises. Ces perturbations socio-économiques menacent au long terme les moyens de subsistance. D’où l’importance de mesurer l’impact de la crise sanitaire sur les droits humains des travailleurs, à même d’aider les Etats à y apporter une réponse ciblée.
Bouteina BENNANI
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