Selon Le Parisien, Brahim Bouhlel est sorti de la prison locale d’Oudaya à Marrakech, hier, dimanche 5 décembre 2021.
L’humoriste avait été condamné en avril dernier à huit mois de prison ferme pour enregistrement et diffusion de photos et vidéos pour des personnes sans leur accord préalable et diffamation contre elles ainsi que contre des mineurs.
Plusieurs demandes de grâce royale avaient été formulées par l’avocat du détenu, mais en vain.
L’affaire était née à la suite de la diffusion sur les réseaux d’une vidéo, dans laquelle Brahim Bouhlel, attablé dans un restaurant à Marrakech aux côtés de «Zbarbooking» et de l’acteur français Hedi Bouchenafa, filmait trois mineurs en proférant des insultes.
La vidéo avait largement indigné l’opinion publique au Maroc qui avait condamné les propos insultants des trois auteurs. Bouchenafa avait pu rentrer en France avant le début de l’enquête.
De son côté, Zbarbooking a été condamné à un an de prison ferme, et devra purger encore quatre mois de prison.
En prison, le détenu a fait montre de volonté de participation aux activités de préparation à la réinsertion, avait rapporté la DGAPR (Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion) dans un communiqué en octobre dernier.
En effet, Bouhlel a participé ces derniers mois à la «Caravane nationale du Sahara marocain dans les établissements pénitentiaires» en se produisant dans un sketch devant les détenus et les invités.
L’administration pénitentiaire avait à cette occasion dénoncé une «campagne enragée» dirigée par certaines parties en France contre le royaume, en diffusant « des allégations tendancieuses ».
Si Le Parisien rapporte des conditions de détention « de 15 détenus dans une cellule de 30 m2 », la DGAPR avait indiqué que Bouhlel logeait « avec neuf autres codétenus dans une cellule qui comporte 12 lits ».
L'odj avec CNEWS
L’humoriste avait été condamné en avril dernier à huit mois de prison ferme pour enregistrement et diffusion de photos et vidéos pour des personnes sans leur accord préalable et diffamation contre elles ainsi que contre des mineurs.
Plusieurs demandes de grâce royale avaient été formulées par l’avocat du détenu, mais en vain.
L’affaire était née à la suite de la diffusion sur les réseaux d’une vidéo, dans laquelle Brahim Bouhlel, attablé dans un restaurant à Marrakech aux côtés de «Zbarbooking» et de l’acteur français Hedi Bouchenafa, filmait trois mineurs en proférant des insultes.
La vidéo avait largement indigné l’opinion publique au Maroc qui avait condamné les propos insultants des trois auteurs. Bouchenafa avait pu rentrer en France avant le début de l’enquête.
De son côté, Zbarbooking a été condamné à un an de prison ferme, et devra purger encore quatre mois de prison.
En prison, le détenu a fait montre de volonté de participation aux activités de préparation à la réinsertion, avait rapporté la DGAPR (Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion) dans un communiqué en octobre dernier.
En effet, Bouhlel a participé ces derniers mois à la «Caravane nationale du Sahara marocain dans les établissements pénitentiaires» en se produisant dans un sketch devant les détenus et les invités.
L’administration pénitentiaire avait à cette occasion dénoncé une «campagne enragée» dirigée par certaines parties en France contre le royaume, en diffusant « des allégations tendancieuses ».
Si Le Parisien rapporte des conditions de détention « de 15 détenus dans une cellule de 30 m2 », la DGAPR avait indiqué que Bouhlel logeait « avec neuf autres codétenus dans une cellule qui comporte 12 lits ».
L'odj avec CNEWS