Par Adnane Benchakroun
Quand la nuit voile enfin le jour de son encre,
Dans l'ombre douce, les cœurs se font plus denses.
Ô toi, lueur qui fends ma nuit et qui me pense,
Ton visage me suit, dernier feu que je repense.
Avant que Morphée de ses bras ne m'embrasse,
Une pensée tendre en mon esprit s'enchâsse:
C'est ton nom qui vibre au creux de la nuit lente,
Ton sourire en écho, douce étoile filante.
Pourquoi donc tarder à t'envoyer cette prose,
Quand sous les astres clairs mon amour se propose?
Laisse-moi, par ces mots, traverser le silence,
Et dans ton sommeil doux murmurer ma présence.
Dire « bonne nuit » peut sembler simple et clair,
Mais c’est un art quand s'éveille le mystère
De l'affection profonde, à l'heure où tout repose,
Où chaque pensée est une fleur qui se dépose.
Ce soir, je choisis les vers pour te dire tendre,
Que dans la nuit noire, tu es mon seul repère.
Ces mots pour bercer ton repos, et pour entendre
Dans le souffle du vent, la promesse de te comprendre.
Que ces phrases soient le vent qui porte mon âme,
Vers toi qui sommeilles où les rêves se pâment.
Que mon adieu nocturne, en cette heure tardive,
Te guide doucement vers des songes attractives.
N’oublie jamais de fermer les yeux en paix,
Sachant qu’à travers les ombres, je veille, épris.
Même séparés par des murs, des mers, des lois,
Ma voix te rejoint pour te souhaiter douce nuit.
Lorsque ton esprit dans les draps se délasse,
Imagine ces vers comme une douce étreinte.
Dans le royaume de Morphée, où tout s'efface,
Mes mots comme des fleurs sur ton sommeil se penchent.
Sous la voûte céleste où se tissent nos rêves,
Mon cœur te parle bas, dans l'éclat de la trêve.
Ainsi, même la nuit, mon affection persiste,
Te caressant l'âme avant que tu ne résistes.
Reçois donc ce poème, messager nocturne,
Comme un souffle léger qui la brume détourne.
Il porte mon désir, mon respect, ma tendresse,
Pour embellir ton rêve et adoucir ta détresse.
Que ce petit mot, avant que tu ne t'assoupisses,
Te berce, te rassure, en tes rêves m'invites.
Que la nuit te soit douce, que rien ne t'attriste,
Et que dans tes songes, mon amour t’accompagnite.
Ainsi chaque soir, avant que le sommeil l'emporte,
Je t'envoie ces vers, ponts vers toi qu'il me reste.
Douce nuit, mon amour, que ta nuit soit douce et forte,
Dans tes rêves, je viens, et doucement, je reste.
Dans l'ombre douce, les cœurs se font plus denses.
Ô toi, lueur qui fends ma nuit et qui me pense,
Ton visage me suit, dernier feu que je repense.
Avant que Morphée de ses bras ne m'embrasse,
Une pensée tendre en mon esprit s'enchâsse:
C'est ton nom qui vibre au creux de la nuit lente,
Ton sourire en écho, douce étoile filante.
Pourquoi donc tarder à t'envoyer cette prose,
Quand sous les astres clairs mon amour se propose?
Laisse-moi, par ces mots, traverser le silence,
Et dans ton sommeil doux murmurer ma présence.
Dire « bonne nuit » peut sembler simple et clair,
Mais c’est un art quand s'éveille le mystère
De l'affection profonde, à l'heure où tout repose,
Où chaque pensée est une fleur qui se dépose.
Ce soir, je choisis les vers pour te dire tendre,
Que dans la nuit noire, tu es mon seul repère.
Ces mots pour bercer ton repos, et pour entendre
Dans le souffle du vent, la promesse de te comprendre.
Que ces phrases soient le vent qui porte mon âme,
Vers toi qui sommeilles où les rêves se pâment.
Que mon adieu nocturne, en cette heure tardive,
Te guide doucement vers des songes attractives.
N’oublie jamais de fermer les yeux en paix,
Sachant qu’à travers les ombres, je veille, épris.
Même séparés par des murs, des mers, des lois,
Ma voix te rejoint pour te souhaiter douce nuit.
Lorsque ton esprit dans les draps se délasse,
Imagine ces vers comme une douce étreinte.
Dans le royaume de Morphée, où tout s'efface,
Mes mots comme des fleurs sur ton sommeil se penchent.
Sous la voûte céleste où se tissent nos rêves,
Mon cœur te parle bas, dans l'éclat de la trêve.
Ainsi, même la nuit, mon affection persiste,
Te caressant l'âme avant que tu ne résistes.
Reçois donc ce poème, messager nocturne,
Comme un souffle léger qui la brume détourne.
Il porte mon désir, mon respect, ma tendresse,
Pour embellir ton rêve et adoucir ta détresse.
Que ce petit mot, avant que tu ne t'assoupisses,
Te berce, te rassure, en tes rêves m'invites.
Que la nuit te soit douce, que rien ne t'attriste,
Et que dans tes songes, mon amour t’accompagnite.
Ainsi chaque soir, avant que le sommeil l'emporte,
Je t'envoie ces vers, ponts vers toi qu'il me reste.
Douce nuit, mon amour, que ta nuit soit douce et forte,
Dans tes rêves, je viens, et doucement, je reste.