Cinq questions à Sophia El Khensae Bentamysur le sujet
1. Pour commencer, comment définiriez-vous le bien-être dans le cadre de la prévention du cancer ?
Le bien-être, c’est avant tout un état d’équilibre et d’harmonie, un concept global qui englobe la santé physique, mentale, émotionnelle et sociale. Il se manifeste par une sensation de satisfaction, de paix intérieure et de qualité de vie. En adoptant ce style de vie, on réduit considérablement le risque de développer des maladies, y compris le cancer, en cultivant un capital de santé durable.
2. Quels sont les piliers d'un mode de vie sain pour renforcer ce capital de bien-être et ainsi prévenir le cancer ?
Parmi les principaux piliers, l’alimentation équilibrée est essentielle, avec un apport en fruits, légumes, céréales complètes et protéines maigres, car ces aliments renforcent notre système immunitaire. L’exercice physique régulier, même modéré, est également crucial, car il aide à maintenir un poids sain et à réduire l’inflammation. Un autre facteur souvent négligé est le sommeil : un repos de qualité permet au corps de récupérer, de réguler les hormones et de renforcer notre système immunitaire, contribuant ainsi à une meilleure prévention du cancer.
3. Comment le stress impacte-t-il notre bien-être et notre capacité à prévenir ou gérer la maladie ?
Le stress chronique est un véritable "tueur de bien-être". Il affaiblit le système immunitaire, augmentant les risques de maladies graves comme le cancer. Des techniques telles que la méditation, le yoga ou la pleine conscience sont des outils précieux pour réduire le stress, favorisant ainsi un esprit plus sain et un corps plus résistant. J’encourage également la psychologie positive et la thérapie par le rire, car elles apportent un soutien important pour notre santé mentale et physique.
4. Quel rôle joue le bien-être mental pour les patients diagnostiqués avec un cancer et leurs proches ?
Le soutien émotionnel et psychologique est primordial dès le diagnostic de cancer. La peur et l’anxiété peuvent submerger les patients, mais il existe des stratégies pour gérer ces sentiments : les thérapies cognitivo-comportementales, les groupes de soutien, ainsi que des ateliers de thérapie par l’art, le rire ou le contact avec la nature. Ces espaces permettent aux patients d’exprimer leurs émotions et de trouver les ressources pour surmonter l’épreuve, et il est crucial que cette forme de soutien soit plus systématiquement accessible, car les familles ont également besoin d’accompagnement.
5. Finalement, pourquoi est-il important de maintenir une activité physique et sociale même en période de maladie ?
Même en période de traitement, rester actif autant que possible est bénéfique pour la qualité de vie. Des exercices adaptés, comme la marche ou le yoga doux, peuvent atténuer les effets secondaires des traitements, offrir un moment de sérénité, et renforcer le corps. De plus, maintenir une vie sociale vivante est vital : sortir, rencontrer des gens, et rester en contact avec les autres permettent aux patients de préserver une certaine normalité et de ne pas se sentir isolés.
Le bien-être, c’est avant tout un état d’équilibre et d’harmonie, un concept global qui englobe la santé physique, mentale, émotionnelle et sociale. Il se manifeste par une sensation de satisfaction, de paix intérieure et de qualité de vie. En adoptant ce style de vie, on réduit considérablement le risque de développer des maladies, y compris le cancer, en cultivant un capital de santé durable.
2. Quels sont les piliers d'un mode de vie sain pour renforcer ce capital de bien-être et ainsi prévenir le cancer ?
Parmi les principaux piliers, l’alimentation équilibrée est essentielle, avec un apport en fruits, légumes, céréales complètes et protéines maigres, car ces aliments renforcent notre système immunitaire. L’exercice physique régulier, même modéré, est également crucial, car il aide à maintenir un poids sain et à réduire l’inflammation. Un autre facteur souvent négligé est le sommeil : un repos de qualité permet au corps de récupérer, de réguler les hormones et de renforcer notre système immunitaire, contribuant ainsi à une meilleure prévention du cancer.
3. Comment le stress impacte-t-il notre bien-être et notre capacité à prévenir ou gérer la maladie ?
Le stress chronique est un véritable "tueur de bien-être". Il affaiblit le système immunitaire, augmentant les risques de maladies graves comme le cancer. Des techniques telles que la méditation, le yoga ou la pleine conscience sont des outils précieux pour réduire le stress, favorisant ainsi un esprit plus sain et un corps plus résistant. J’encourage également la psychologie positive et la thérapie par le rire, car elles apportent un soutien important pour notre santé mentale et physique.
4. Quel rôle joue le bien-être mental pour les patients diagnostiqués avec un cancer et leurs proches ?
Le soutien émotionnel et psychologique est primordial dès le diagnostic de cancer. La peur et l’anxiété peuvent submerger les patients, mais il existe des stratégies pour gérer ces sentiments : les thérapies cognitivo-comportementales, les groupes de soutien, ainsi que des ateliers de thérapie par l’art, le rire ou le contact avec la nature. Ces espaces permettent aux patients d’exprimer leurs émotions et de trouver les ressources pour surmonter l’épreuve, et il est crucial que cette forme de soutien soit plus systématiquement accessible, car les familles ont également besoin d’accompagnement.
5. Finalement, pourquoi est-il important de maintenir une activité physique et sociale même en période de maladie ?
Même en période de traitement, rester actif autant que possible est bénéfique pour la qualité de vie. Des exercices adaptés, comme la marche ou le yoga doux, peuvent atténuer les effets secondaires des traitements, offrir un moment de sérénité, et renforcer le corps. De plus, maintenir une vie sociale vivante est vital : sortir, rencontrer des gens, et rester en contact avec les autres permettent aux patients de préserver une certaine normalité et de ne pas se sentir isolés.