Biden fait volteface...
Au menu, des détails... des sémiologues et béhavioristes aux aguets de ce qui dépasse. Un « Check-up » bien goupillé pour éluder la pagaille.
Deux « grosses » têtes, Biden d’un côté, Poutine, d’un...côté. Nul « superlatif » n’est permis. Poutine, retardataire type, prend malin plaisir à « voir » poireauter ses hôtes, ou son « rendez-vous », Angela Merkel, Erdogan...en savent un bout.
L’oncle Sam, lui, ne peut gouter à cette « gourmandise » mal en place, cette mise sous botte russe qui vit à l’ombre de l’URSS. L’équipe fit le nécessaire pour régler Poutine sur les bonnes façons.
Le nécessaire a payé...Vladimir fut là en premier. Et Biden de tendre la main, cloué sur place, laisse venir « le tueur ». Et la diplomatie de déployer ses ailes... Genève, terre neutre, et les discours de faire volte face.
« Le tueur » mue en « adversaire digne », un « dur », une « tête bien faite »...c’est Biden qui change de cap. Se crêper le chignon est affaire ancienne.
Poutine le lui rend bien...les enjeux valent les compromis, tout est sur table, désarmement, têtes nucléaires, cybersécurité... Le souci de Biden ? La stabilité...s’improviser « frère aîné » d’une Russie épidermique, est cause perdue.
Deux mondes contraires
Une Russie, repensée, loin des « légèretés » européennes, d’un occident « unis-versatiles », du gauchisme sacrificiel...Une Russie impériale, État-nation, dont « les lignes rouges » représentent le pivot du vocabulaire.
Ligne rouge comme Crimée, Géorgie, Ukraine, Biélorussie, Navalny...en gros, l’individu n’a que peu de place...se dissout dans la nation-grandeur.
Une autre paire de manche que les États-Unis, furieuse de démocratie, de droit de l’homme, et les « fioritures » du nouveau monde.
D’ailleurs la tournée Biden a pour slogan : Démocratie Vs Autoritarisme. En gros, Biden Vs Poutine...n’est-ce pas curieux ? Vu à l’aune de cette pratique diplomatique et moelleuse ?
Ce n’est pas se tromper que de substituer Biden aux États-Unis... « Si Navalny perd la vie...vous aurez affaire à moi » dit-il à Poutine.
Oui, Biden est ce garant de l’ordre mondial que Poutine...rebute. C’est dire que la Russie s’apparente, et de beaucoup, à la Chine...qu’un rapprochement fait cabrer « tous » les États-Unis.
De l'opportunisme américain...
Une Russie que Biden amadoue au besoin, tandis qu’une mise en garde fut signalé au reste de l’Europe eu égard d’une dépendance énergétique vis-à-vis de qui vous savez.
N’est-ce pas que Biden veuille « neutraliser » la Russie... pays dont le PIB est celui de L’Italie, mais dont la présence militaire se rallonge jusqu’au Centrafrique. Sans parler des accointances avec l’Iran, la Turquie, la Syrie...oui la Russie dérange.
Quoiqu’avec l’Iran, il y’a une carte à jouer, les Etats-Unis comptent user des rapports mutuels pour un retour aux accords... bien sûr que les missiles S400 dérangent, mais tout se fait pas à pas.
Biden, bien que fin utilitariste aux ongles arrondis, sait pouvoir faire trembler Poutine. Suffit d’avaliser l’entrée de l'Ukraine à l’OTAN. Et de voir hurler Poutine.
Cette rencontre a Genève marque-t-elle un nouveau départ ? Est-ce plutôt l’opportunisme américain plutôt qu’une quelconque gratitude... n’est-ce pas grâce aux renseignements russes que les américains ont mis la main sur Ben laden ?
Quand on sait que la Russie ne tolère que l’on s’immisce dans ses affaires, que les États-Unis paradent en gendarme du monde... deux mondes contraires.
La démocratie fermerait-elle les yeux pour mieux « voir » ses intérêts... ou c’est l’autoritarisme qui mettrait de « l’Amérique » dans ses rapports...
Affaire à suivre.
Au menu, des détails... des sémiologues et béhavioristes aux aguets de ce qui dépasse. Un « Check-up » bien goupillé pour éluder la pagaille.
Deux « grosses » têtes, Biden d’un côté, Poutine, d’un...côté. Nul « superlatif » n’est permis. Poutine, retardataire type, prend malin plaisir à « voir » poireauter ses hôtes, ou son « rendez-vous », Angela Merkel, Erdogan...en savent un bout.
L’oncle Sam, lui, ne peut gouter à cette « gourmandise » mal en place, cette mise sous botte russe qui vit à l’ombre de l’URSS. L’équipe fit le nécessaire pour régler Poutine sur les bonnes façons.
Le nécessaire a payé...Vladimir fut là en premier. Et Biden de tendre la main, cloué sur place, laisse venir « le tueur ». Et la diplomatie de déployer ses ailes... Genève, terre neutre, et les discours de faire volte face.
« Le tueur » mue en « adversaire digne », un « dur », une « tête bien faite »...c’est Biden qui change de cap. Se crêper le chignon est affaire ancienne.
Poutine le lui rend bien...les enjeux valent les compromis, tout est sur table, désarmement, têtes nucléaires, cybersécurité... Le souci de Biden ? La stabilité...s’improviser « frère aîné » d’une Russie épidermique, est cause perdue.
Deux mondes contraires
Une Russie, repensée, loin des « légèretés » européennes, d’un occident « unis-versatiles », du gauchisme sacrificiel...Une Russie impériale, État-nation, dont « les lignes rouges » représentent le pivot du vocabulaire.
Ligne rouge comme Crimée, Géorgie, Ukraine, Biélorussie, Navalny...en gros, l’individu n’a que peu de place...se dissout dans la nation-grandeur.
Une autre paire de manche que les États-Unis, furieuse de démocratie, de droit de l’homme, et les « fioritures » du nouveau monde.
D’ailleurs la tournée Biden a pour slogan : Démocratie Vs Autoritarisme. En gros, Biden Vs Poutine...n’est-ce pas curieux ? Vu à l’aune de cette pratique diplomatique et moelleuse ?
Ce n’est pas se tromper que de substituer Biden aux États-Unis... « Si Navalny perd la vie...vous aurez affaire à moi » dit-il à Poutine.
Oui, Biden est ce garant de l’ordre mondial que Poutine...rebute. C’est dire que la Russie s’apparente, et de beaucoup, à la Chine...qu’un rapprochement fait cabrer « tous » les États-Unis.
De l'opportunisme américain...
Une Russie que Biden amadoue au besoin, tandis qu’une mise en garde fut signalé au reste de l’Europe eu égard d’une dépendance énergétique vis-à-vis de qui vous savez.
N’est-ce pas que Biden veuille « neutraliser » la Russie... pays dont le PIB est celui de L’Italie, mais dont la présence militaire se rallonge jusqu’au Centrafrique. Sans parler des accointances avec l’Iran, la Turquie, la Syrie...oui la Russie dérange.
Quoiqu’avec l’Iran, il y’a une carte à jouer, les Etats-Unis comptent user des rapports mutuels pour un retour aux accords... bien sûr que les missiles S400 dérangent, mais tout se fait pas à pas.
Biden, bien que fin utilitariste aux ongles arrondis, sait pouvoir faire trembler Poutine. Suffit d’avaliser l’entrée de l'Ukraine à l’OTAN. Et de voir hurler Poutine.
Cette rencontre a Genève marque-t-elle un nouveau départ ? Est-ce plutôt l’opportunisme américain plutôt qu’une quelconque gratitude... n’est-ce pas grâce aux renseignements russes que les américains ont mis la main sur Ben laden ?
Quand on sait que la Russie ne tolère que l’on s’immisce dans ses affaires, que les États-Unis paradent en gendarme du monde... deux mondes contraires.
La démocratie fermerait-elle les yeux pour mieux « voir » ses intérêts... ou c’est l’autoritarisme qui mettrait de « l’Amérique » dans ses rapports...
Affaire à suivre.