Deux mois avant l’investiture du 47ème président des Etats-Unis, Donald Trump, le président sortant, Joe Biden, a autorisé l’Ukraine à utiliser les missiles de longue portée qui lui ont été livrées pour mener des frappes en profondeur à l’intérieur du territoire de la Fédération de Russie, selon des médias américains.
La justification de cette grave décision de Washington serait le déploiement de troupes nord-coréennes sur le front, au côté de l’armée russe, d’après de hauts responsables de l’administration Biden, cités par les médias américains.
La présence des soldats nord-coréens en Russie, rapportée par lesdits médias américains, reste toutefois à prouver.
Donald Trump, qui a déclaré à plusieurs reprises, lors de sa campagne électorale, son intention de mettre un terme à la guerre en Ukraine, risque ainsi fort de se retrouver à gérer un conflit ouvert avec la Russie, si un échange nucléaire n’intervient pas avant le 20 janvier 2025.
La justification de cette grave décision de Washington serait le déploiement de troupes nord-coréennes sur le front, au côté de l’armée russe, d’après de hauts responsables de l’administration Biden, cités par les médias américains.
La présence des soldats nord-coréens en Russie, rapportée par lesdits médias américains, reste toutefois à prouver.
Donald Trump, qui a déclaré à plusieurs reprises, lors de sa campagne électorale, son intention de mettre un terme à la guerre en Ukraine, risque ainsi fort de se retrouver à gérer un conflit ouvert avec la Russie, si un échange nucléaire n’intervient pas avant le 20 janvier 2025.
Frappes en profondeur
De toute évidence, l’Etat profond américain, infesté de néoconservateurs et frustré par l’échec retentissant des Démocrates va-t-en-guerre aux dernières élections, est bien décidé à élargir le conflit entre l’Ukraine et la Russie aux pays membres de l’Otan.
Après avoir longtemps péroré sur la faiblesse de l’armée et de l’économie russes, la fragilité du régime en place à Moscou et les chances de l’Ukraine, armée par les pays occidentaux, de remporter l’affrontement entamé fin février 2022, experts militaires et médias occidentaux ont fini par se rendre à l’évidence : Kiev a perdu une guerre qu’elle n’aurait jamais pu, de toute manière, gagner.
Jusqu’à présent, l’Ukraine n’était autorisée à utiliser que des missiles d’une portée de 160 kms tirés par les batteries ATACMS (Army Tactical Missile System) fournies par les Etats-Unis. Ce système d’armement peut également lancer des missiles d’une portée de 300 kms.
Le missile de croisière de fabrication franco-britannique Storm Shadow peut, pour sa part, atteindre les 560 kms, ce qui mettrait la capitale russe Moscou, à portée de tir.
Après avoir longtemps péroré sur la faiblesse de l’armée et de l’économie russes, la fragilité du régime en place à Moscou et les chances de l’Ukraine, armée par les pays occidentaux, de remporter l’affrontement entamé fin février 2022, experts militaires et médias occidentaux ont fini par se rendre à l’évidence : Kiev a perdu une guerre qu’elle n’aurait jamais pu, de toute manière, gagner.
Jusqu’à présent, l’Ukraine n’était autorisée à utiliser que des missiles d’une portée de 160 kms tirés par les batteries ATACMS (Army Tactical Missile System) fournies par les Etats-Unis. Ce système d’armement peut également lancer des missiles d’une portée de 300 kms.
Le missile de croisière de fabrication franco-britannique Storm Shadow peut, pour sa part, atteindre les 560 kms, ce qui mettrait la capitale russe Moscou, à portée de tir.
La réponse atomique
Il va de soi que cette décision américaine a mis les décideurs politiques russes dans un état de fureur qu’ils ont, en partie, exulté en menant une campagne de frappes contre l’Ukraine d’une grande intensité.
Les médias russes, pour leur part, ont commencé à traiter de scénarios de frappes nucléaires sur Kiev et d’autres capitales européennes, si des missiles lancés à partir de l’Ukraine devaient atteindre des cibles stratégiques en Russie.
Le sort de l’humanité, qui voit réellement planer la sérieuse menace d’un cataclysme nucléaire, va dépendre de la bataille que devra livrer, avant même son investiture officielle, le président nouvellement réélu, Donald Trump, contre l’Etat profond américain, allié au complexe militaro-industriel.
Le moment de puissance unipolaire des Etats-Unis, ayant suivi l’implosion de l’Urss, au début des années 90 du siècle dernier, a pris fin avec le retour sur la scène géopolitique mondiale de la Russie, en tant que grande puissance militaire, et l’émergence de la Chine en tant que concurrent économique.
Les médias russes, pour leur part, ont commencé à traiter de scénarios de frappes nucléaires sur Kiev et d’autres capitales européennes, si des missiles lancés à partir de l’Ukraine devaient atteindre des cibles stratégiques en Russie.
Le sort de l’humanité, qui voit réellement planer la sérieuse menace d’un cataclysme nucléaire, va dépendre de la bataille que devra livrer, avant même son investiture officielle, le président nouvellement réélu, Donald Trump, contre l’Etat profond américain, allié au complexe militaro-industriel.
Le moment de puissance unipolaire des Etats-Unis, ayant suivi l’implosion de l’Urss, au début des années 90 du siècle dernier, a pris fin avec le retour sur la scène géopolitique mondiale de la Russie, en tant que grande puissance militaire, et l’émergence de la Chine en tant que concurrent économique.
Quitte ou double
Le plan des néoconservateurs consistant à « liquider » la Russie à travers la guerre contre l’Ukraine, avant de tourner leurs aspirations belliqueuses vers la Chine, a non seulement échoué, mais il a également mené à un renforcement de l’alliance entre Moscou et Pékin, rendant leur prétention de maintien de l’hégémonie américaine sur le monde encore plus improbable.
Conscient que la poursuite de tels objectifs saigne les Etats-Unis, dont il tient à stopper le déclin relatif, Donald Trump ne s’inscrit pas dans cette complicité bipartisane américaine pour l’activation et l’entretien des conflits armés à travers le monde.
L’Etat profond américain, qui se nourrit des guerres, fera tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher la fin du conflit en Ukraine, avant l’investiture de Donald Trump. Au risque de transformer la Terre en une planète vitrifiée.
Conscient que la poursuite de tels objectifs saigne les Etats-Unis, dont il tient à stopper le déclin relatif, Donald Trump ne s’inscrit pas dans cette complicité bipartisane américaine pour l’activation et l’entretien des conflits armés à travers le monde.
L’Etat profond américain, qui se nourrit des guerres, fera tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher la fin du conflit en Ukraine, avant l’investiture de Donald Trump. Au risque de transformer la Terre en une planète vitrifiée.