A travers le traditionnel communiqué diffusé en la circonstance, la Banque centrale justifie sa décision par un certain nombre de considérations dont le fait que l’orientation de la politique monétaire demeure largement accommodante et assure les conditions de financement adéquates.
Et le fait aussi que l’activité économique ait connu globalement une nette reprise cette année, favorisée par les avancées de la campagne de vaccination et le maintien des stimulus budgétaire et monétaire. Et ce, malgré des hausses notables observées ces derniers mois au niveau de certains produits alimentaires et des carburants et lubrifiants.
Une situation qui, selon Bank Al Maghrib, s’est traduite par une nette accélération de la composante sous-jacente de l’inflation qui a nettement évolué de 0,7 % en moyenne au cours du premier semestre à 2 % au troisième trimestre et à 3,3 % en novembre.
Selon les projections de Bank Al-Maghrib, elle devrait ressortir à 1,7 % sur l’ensemble de cette année et se situer à 2,7 % en 2022 avant de revenir à 1,8 % en 2023 avec la dissipation probable des pressions externes.
Toutefois, la Banque centrale rassure : Malgré ce net accroissement de sa composante fondamentale, l’inflation devrait rester à des niveaux contenus, passant en moyenne de 0,7 % en 2020 à 1,4 % en 2021, à 2,1 % en 2022, puis reculer à 1,4 % en 2023.
En termes de croissance, la Banque centrale évoque un rebond de 6,7 % au titre de cette année. Et estime que, pour les deux prochaines années, le rythme de l’activité restera largement tributaire de l’évolution de la situation sanitaire aux plans national et international et des restrictions que les autorités seraient amenées à mettre en place.
Et le fait aussi que l’activité économique ait connu globalement une nette reprise cette année, favorisée par les avancées de la campagne de vaccination et le maintien des stimulus budgétaire et monétaire. Et ce, malgré des hausses notables observées ces derniers mois au niveau de certains produits alimentaires et des carburants et lubrifiants.
Une situation qui, selon Bank Al Maghrib, s’est traduite par une nette accélération de la composante sous-jacente de l’inflation qui a nettement évolué de 0,7 % en moyenne au cours du premier semestre à 2 % au troisième trimestre et à 3,3 % en novembre.
Selon les projections de Bank Al-Maghrib, elle devrait ressortir à 1,7 % sur l’ensemble de cette année et se situer à 2,7 % en 2022 avant de revenir à 1,8 % en 2023 avec la dissipation probable des pressions externes.
Toutefois, la Banque centrale rassure : Malgré ce net accroissement de sa composante fondamentale, l’inflation devrait rester à des niveaux contenus, passant en moyenne de 0,7 % en 2020 à 1,4 % en 2021, à 2,1 % en 2022, puis reculer à 1,4 % en 2023.
En termes de croissance, la Banque centrale évoque un rebond de 6,7 % au titre de cette année. Et estime que, pour les deux prochaines années, le rythme de l’activité restera largement tributaire de l’évolution de la situation sanitaire aux plans national et international et des restrictions que les autorités seraient amenées à mettre en place.