Qu’il s’agisse de crêpes mille trous ou de galettes feuilletées, ces mets sont réalisés avec une minutie et une passion qui témoignent d’un savoir-faire ancestral.
Derrière chaque bouchée se cache une histoire, celle de femmes qui ont appris ces recettes dans les cuisines de leurs mères et grands-mères.
Aujourd’hui, elles les mettent en valeur dans l’espace public, non seulement pour subvenir à leurs besoins, mais aussi pour valoriser une culture culinaire riche.
Ramadan : un mois de travail intense
Si pour beaucoup, le Ramadan est synonyme de spiritualité et de repos, pour ces femmes, il s’agit au contraire d’un mois de travail intense.
Dès les premières heures de la journée, elles préparent leurs produits avec soin avant de s’installer dans la rue ou sur les marchés. Leurs journées sont longues et rythmées par les demandes des clients, souvent pressés de garnir leurs tables du ftour.
Malgré la fatigue du jeûne, elles tiennent bon, motivées par le besoin et parfois par l’espoir d’une indépendance économique.
Au-delà des crêpes et gâteaux : d’autres métiers féminins du Ramadan
Le mois sacré révèle également d’autres formes d’activité féminine. Certaines femmes se spécialisent dans la préparation et la vente de harira à emporter, d’autres proposent des jus frais, des dattes farcies ou encore des plats traditionnels comme la pastilla.
D’autres encore travaillent à domicile, préparant sur commande des douceurs sucrées, des bricks ou des plats complets pour des familles débordées.
Dans les salons de beauté aussi, l’activité bat son plein. De nombreuses femmes coiffeuses ou esthéticiennes à domicile profitent de cette période pour proposer des soins de préparation à l’Aïd, alors que d’autres confectionnent des djellabas et des caftans à la main, pour répondre à la demande croissante à l’approche des festivités.
Une visibilité temporaire, mais un rôle fondamental
Ces femmes, bien que visibles pendant le Ramadan, retombent souvent dans l’oubli dès que le mois sacré s’achève. Pourtant, leur contribution économique et sociale est bien réelle. Elles incarnent une force de travail essentielle, qui mérite d’être reconnue et valorisée au-delà de cette seule période.
Le Ramadan devient alors, pour elles, bien plus qu’un mois de spiritualité : c’est aussi un moment de lutte, de visibilité, d’autonomie et de dignité.
Derrière chaque bouchée se cache une histoire, celle de femmes qui ont appris ces recettes dans les cuisines de leurs mères et grands-mères.
Aujourd’hui, elles les mettent en valeur dans l’espace public, non seulement pour subvenir à leurs besoins, mais aussi pour valoriser une culture culinaire riche.
Ramadan : un mois de travail intense
Si pour beaucoup, le Ramadan est synonyme de spiritualité et de repos, pour ces femmes, il s’agit au contraire d’un mois de travail intense.
Dès les premières heures de la journée, elles préparent leurs produits avec soin avant de s’installer dans la rue ou sur les marchés. Leurs journées sont longues et rythmées par les demandes des clients, souvent pressés de garnir leurs tables du ftour.
Malgré la fatigue du jeûne, elles tiennent bon, motivées par le besoin et parfois par l’espoir d’une indépendance économique.
Au-delà des crêpes et gâteaux : d’autres métiers féminins du Ramadan
Le mois sacré révèle également d’autres formes d’activité féminine. Certaines femmes se spécialisent dans la préparation et la vente de harira à emporter, d’autres proposent des jus frais, des dattes farcies ou encore des plats traditionnels comme la pastilla.
D’autres encore travaillent à domicile, préparant sur commande des douceurs sucrées, des bricks ou des plats complets pour des familles débordées.
Dans les salons de beauté aussi, l’activité bat son plein. De nombreuses femmes coiffeuses ou esthéticiennes à domicile profitent de cette période pour proposer des soins de préparation à l’Aïd, alors que d’autres confectionnent des djellabas et des caftans à la main, pour répondre à la demande croissante à l’approche des festivités.
Une visibilité temporaire, mais un rôle fondamental
Ces femmes, bien que visibles pendant le Ramadan, retombent souvent dans l’oubli dès que le mois sacré s’achève. Pourtant, leur contribution économique et sociale est bien réelle. Elles incarnent une force de travail essentielle, qui mérite d’être reconnue et valorisée au-delà de cette seule période.
Le Ramadan devient alors, pour elles, bien plus qu’un mois de spiritualité : c’est aussi un moment de lutte, de visibilité, d’autonomie et de dignité.