Poème en musique du Dr Anwar CHERKAOUI
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème du Dr Anwar CHERKAOUI
Avec mes larmes, je vous appelle,
Ne me laissez pas dans l'obscurité, cruelle.
Je suis Amadou, j'ai quatre ans,
Je vis en Afrique, sous le vent brûlant.
Mon œil droit pleure, il est malade,
Une tumeur grandit, silencieuse et fade.
Les médecins parlent d’un cancer cruel,
Je sens la douleur, chaque jour plus réelle.
Ma mère, inquiète, cherche en vain,
Des réponses, des espoirs pour demain.
Elle a lu qu'on peut guérir ailleurs,
Mais ici, les médicaments se font rares, hélas, quelle douleur!
Je vous en supplie, je ne veux pas sombrer,
Dans cette nuit noire où tout semble figé.
Aidez-moi à voir encore la lumière,
A rire, à courir, à goûter la poussière.
Chaque jour, je me demande si je vais perdre,
Ma vue, mon espoir, ce que j’ai de plus tendre.
Mais je crois en vous, en vos cœurs ouverts,
Aidez-moi à traverser cet enfer.
Avec mes larmes, je vous appelle,
Ne me laissez pas seul sous cette ombrelle.
Guérissez-moi, rendez-moi l'espoir,
Que je retrouve la vie, et non ce noir.
Je veux jouer, courir sous le ciel,
Voir les étoiles briller, si belles.
Ce cancer, je le sais, peut être vaincu,
Mais sans vous, je suis perdu.
Septembre en Or, l’espoir est d’Or
La cancer de l’œil est vaincu à mort
Avec mes larmes, je vous appelle
Ne me laissez pas dans l’obscurité cruelle
Ne me laissez pas dans l'obscurité, cruelle.
Je suis Amadou, j'ai quatre ans,
Je vis en Afrique, sous le vent brûlant.
Mon œil droit pleure, il est malade,
Une tumeur grandit, silencieuse et fade.
Les médecins parlent d’un cancer cruel,
Je sens la douleur, chaque jour plus réelle.
Ma mère, inquiète, cherche en vain,
Des réponses, des espoirs pour demain.
Elle a lu qu'on peut guérir ailleurs,
Mais ici, les médicaments se font rares, hélas, quelle douleur!
Je vous en supplie, je ne veux pas sombrer,
Dans cette nuit noire où tout semble figé.
Aidez-moi à voir encore la lumière,
A rire, à courir, à goûter la poussière.
Chaque jour, je me demande si je vais perdre,
Ma vue, mon espoir, ce que j’ai de plus tendre.
Mais je crois en vous, en vos cœurs ouverts,
Aidez-moi à traverser cet enfer.
Avec mes larmes, je vous appelle,
Ne me laissez pas seul sous cette ombrelle.
Guérissez-moi, rendez-moi l'espoir,
Que je retrouve la vie, et non ce noir.
Je veux jouer, courir sous le ciel,
Voir les étoiles briller, si belles.
Ce cancer, je le sais, peut être vaincu,
Mais sans vous, je suis perdu.
Septembre en Or, l’espoir est d’Or
La cancer de l’œil est vaincu à mort
Avec mes larmes, je vous appelle
Ne me laissez pas dans l’obscurité cruelle
Ce poème poignant raconte l'histoire d'Amadou, un enfant de quatre ans vivant en Afrique, confronté à un cancer de l'œil.
À travers ses larmes, il appelle à l'aide, exprimant la douleur croissante et la détresse de sa mère, qui cherche désespérément un traitement pour son fils dans un contexte où les ressources médicales sont limitées.
Amadou exprime son espoir de guérison, son désir de retrouver la lumière, de courir et de jouer sous le ciel. Il implore la compassion des autres pour vaincre la maladie qui le prive de son enfance et menace son avenir.
Le poème se termine par une note d'espoir, en évoquant "Septembre en Or", symbole de la lutte contre le cancer pédiatrique, avec l'espoir que ce cancer de l'œil sera un jour vaincu.
Amadou exprime son espoir de guérison, son désir de retrouver la lumière, de courir et de jouer sous le ciel. Il implore la compassion des autres pour vaincre la maladie qui le prive de son enfance et menace son avenir.
Le poème se termine par une note d'espoir, en évoquant "Septembre en Or", symbole de la lutte contre le cancer pédiatrique, avec l'espoir que ce cancer de l'œil sera un jour vaincu.