Les cyclones violents, les vagues de chaleur océanique et l’élévation du niveau de la mer représentent des menaces graves pour les petites nations insulaires du Pacifique. Pour le Maroc, confronté à des défis climatiques tels que la sécheresse, ces avertissements soulignent l'urgence d'une action mondiale coordonnée pour atténuer les effets du changement climatique et soutenir les communautés les plus vulnérables.
En visite à Apia, la capitale des Samoa, M. Guterres a précisé que :
Ces régions, malgré leur contribution minime aux émissions mondiales de carbone (0,02 %), sont en première ligne des catastrophes climatiques, faisant face à des événements météorologiques extrêmes tels que des cyclones tropicaux intenses et des vagues de chaleur record dans les océans.
Pour ces îles, l’avenir dépend de la capacité internationale à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius par rapport aux niveaux préindustriels, un objectif fixé par près de 200 pays lors de la COP21 en 2015. Guterres a appelé les pays riches à honorer leurs engagements financiers pour aider les pays en développement à faire face aux conséquences du changement climatique et a plaidé pour une action internationale contre des menaces supplémentaires comme la surpêche et la pollution plastique dans l’océan Pacifique. Il a également exprimé son avis sur les luttes de pouvoir dans la région, où la Chine, les États-Unis et leurs alliés rivalisent d’influence.
En visite à Apia, la capitale des Samoa, M. Guterres a précisé que :
certains territoires du Pacifique risquaient d’être anéantis. Le niveau élevé et croissant des mers constitue une énorme menace pour les Samoa, le Pacifique et d’autres petits États insulaires en développement.
Ces régions, malgré leur contribution minime aux émissions mondiales de carbone (0,02 %), sont en première ligne des catastrophes climatiques, faisant face à des événements météorologiques extrêmes tels que des cyclones tropicaux intenses et des vagues de chaleur record dans les océans.
Pour ces îles, l’avenir dépend de la capacité internationale à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius par rapport aux niveaux préindustriels, un objectif fixé par près de 200 pays lors de la COP21 en 2015. Guterres a appelé les pays riches à honorer leurs engagements financiers pour aider les pays en développement à faire face aux conséquences du changement climatique et a plaidé pour une action internationale contre des menaces supplémentaires comme la surpêche et la pollution plastique dans l’océan Pacifique. Il a également exprimé son avis sur les luttes de pouvoir dans la région, où la Chine, les États-Unis et leurs alliés rivalisent d’influence.