Autoroutes en panne :
Le rapport, élaboré par une équipe de 13 députés, met en lumière une série de dysfonctionnements. Les enquêtes menées sur le terrain et les visites d'infrastructures ont permis de constater des problèmes notables qui touchent non seulement les usagers, mais aussi l’environnement. Parmi les critiques formulées, on retrouve des chantiers interminables qui perturbent la circulation, notamment lors des périodes de pointe. Les automobilistes, qui continuent de payer des tarifs élevés, se retrouvent piégés dans des embouteillages, aggravant leur frustration.
Les tarifs, jugés excessifs, sont particulièrement problématiques sur des axes majeurs comme celui reliant Rabat à Marrakech, où le coût de 130 dirhams pèse lourdement sur le budget des usagers, sans compter les frais de carburant. De plus, malgré l'introduction de la carte « Jâwaz », les files d’attente aux péages demeurent interminables, exacerbées par le manque de personnel, surtout durant les weekends.
Le rapport souligne également l’état de dégradation de certaines sections autoroutières, où la sécurité des usagers est compromise par l’absence de barrières de protection. Les aires de repos, quant à elles, sont critiquées pour leurs prix exorbitants et la qualité médiocre des services offerts.
Face à cette situation alarmante, la mission parlementaire appelle à une réforme urgente. Elle préconise une gestion rationalisée et une modernisation des infrastructures pour mieux répondre aux attentes des usagers. Ce cri d’alarme met en lumière la nécessité d’un engagement fort pour assurer l’avenir des autoroutes marocaines, tout en soulignant l’importance de la bonne gouvernance.
Les tarifs, jugés excessifs, sont particulièrement problématiques sur des axes majeurs comme celui reliant Rabat à Marrakech, où le coût de 130 dirhams pèse lourdement sur le budget des usagers, sans compter les frais de carburant. De plus, malgré l'introduction de la carte « Jâwaz », les files d’attente aux péages demeurent interminables, exacerbées par le manque de personnel, surtout durant les weekends.
Le rapport souligne également l’état de dégradation de certaines sections autoroutières, où la sécurité des usagers est compromise par l’absence de barrières de protection. Les aires de repos, quant à elles, sont critiquées pour leurs prix exorbitants et la qualité médiocre des services offerts.
Face à cette situation alarmante, la mission parlementaire appelle à une réforme urgente. Elle préconise une gestion rationalisée et une modernisation des infrastructures pour mieux répondre aux attentes des usagers. Ce cri d’alarme met en lumière la nécessité d’un engagement fort pour assurer l’avenir des autoroutes marocaines, tout en soulignant l’importance de la bonne gouvernance.