Par adnane Benchakroun
Quand l’esprit trop souvent se laisse envahir,
Par des pensées hâtives sans y méditer,
Il oublie le chemin de la clarté pure,
Plongeant dans l’ombre épaisse d'une vue obscure.
Généraliser vite, quelle aisée erreur,
Qui du vrai discernement éloigne les cœurs,
Dans le piège des mots et des idées biais,
Se perd la vérité, fragile et distraite.
Sous le poids des préjugés lourds et sourds,
L’amalgame insidieux tisse son cours,
De la foule des faits, sans fin ni forme,
Il brode un tissu plein de fausses normes.
Les stéréotypes, ces fantômes rusés,
Qui de notre jugement s’amusent à jouer,
Dressent des murs épais entre les êtres,
Et enferment nos âmes en de tristes fenêtres.
Un raccourci, voie rapide et trompeuse,
Qui de la complexité rend l’issue douteuse,
En un panier de jugements, mêle et confond,
Tous les détails subtils que le temps façonne.
Ah ! Penser est un art qui demande du temps,
Une étoile à suivre dans le ciel vacant,
Chaque idée comme un fil d’or à démêler,
Pour que la vérité puisse enfin briller.
Dans l’arène du monde, où tout va si vite,
Le penseur doit veiller à ce que son esprit,
Ne devienne pas esclave des illusions,
Ni prisonnier des faciles conclusions.
Critiquer, mais sans la hâte qui aveugle,
Savoir douter, questionner, sans que cela ne bouscule,
C’est le devoir de celui qui, sage et patient,
Sonde les profondeurs de l’océan des gens.
La nuance est un phare dans la nuit des temps,
Qui éclaire les zones d’ombre frémissant,
Elle demande courage, effort et constance,
Pour résister aux vents de l’ignorance.
Oh ! Gardons dans notre quête ardente,
L’esprit ouvert, la pensée tolérante,
Refusons les chemins déjà trop tracés,
Et les idées comme des faits déjà jugés.
Redoutons ce confort de l’esprit étroit,
Qui en ses préceptes trouve joie et émoi,
Préférant le silence des certitudes,
Au bruissement fertile des inquiétudes.
Puisse chaque homme en son âme et conscience,
Chercher la justesse avec persévérance,
Pour que s’épanouisse en chaque époque,
Un jugement plus juste, où l’esprit s’émancipe.
Par des pensées hâtives sans y méditer,
Il oublie le chemin de la clarté pure,
Plongeant dans l’ombre épaisse d'une vue obscure.
Généraliser vite, quelle aisée erreur,
Qui du vrai discernement éloigne les cœurs,
Dans le piège des mots et des idées biais,
Se perd la vérité, fragile et distraite.
Sous le poids des préjugés lourds et sourds,
L’amalgame insidieux tisse son cours,
De la foule des faits, sans fin ni forme,
Il brode un tissu plein de fausses normes.
Les stéréotypes, ces fantômes rusés,
Qui de notre jugement s’amusent à jouer,
Dressent des murs épais entre les êtres,
Et enferment nos âmes en de tristes fenêtres.
Un raccourci, voie rapide et trompeuse,
Qui de la complexité rend l’issue douteuse,
En un panier de jugements, mêle et confond,
Tous les détails subtils que le temps façonne.
Ah ! Penser est un art qui demande du temps,
Une étoile à suivre dans le ciel vacant,
Chaque idée comme un fil d’or à démêler,
Pour que la vérité puisse enfin briller.
Dans l’arène du monde, où tout va si vite,
Le penseur doit veiller à ce que son esprit,
Ne devienne pas esclave des illusions,
Ni prisonnier des faciles conclusions.
Critiquer, mais sans la hâte qui aveugle,
Savoir douter, questionner, sans que cela ne bouscule,
C’est le devoir de celui qui, sage et patient,
Sonde les profondeurs de l’océan des gens.
La nuance est un phare dans la nuit des temps,
Qui éclaire les zones d’ombre frémissant,
Elle demande courage, effort et constance,
Pour résister aux vents de l’ignorance.
Oh ! Gardons dans notre quête ardente,
L’esprit ouvert, la pensée tolérante,
Refusons les chemins déjà trop tracés,
Et les idées comme des faits déjà jugés.
Redoutons ce confort de l’esprit étroit,
Qui en ses préceptes trouve joie et émoi,
Préférant le silence des certitudes,
Au bruissement fertile des inquiétudes.
Puisse chaque homme en son âme et conscience,
Chercher la justesse avec persévérance,
Pour que s’épanouisse en chaque époque,
Un jugement plus juste, où l’esprit s’émancipe.