Poème à écouter en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Nous sommes cinq millions, vivants et fiers encore,
Loin d’être des fantômes oubliés par le sort.
Nos cœurs battent en chœur, l’écho de nos combats,
Nos rides sont des cartes où l’Histoire s’égare.
Qui ose nous réduire à des ombres sans voix ?
Nos âmes sont des flammes, réclamant tous nos droits.
Nous avons bâti l’arbre, enraciné le sol,
Et l’avenir fleurit sur l’effort de nos mols.
Les chaînes de l’oubli veulent clore nos mémoires,
Mais nous portons le feu, la clarté de l’espoir.
Notre âge est un trésor, un phare dans la nuit,
Pas un poids que l’on cache en silence et ennui.
Que tombent les mépris, les murs de l’arrogance,
Nous sommes la colonne qui soutient votre danse.
Nos mains, bien qu’usées, ensemencent encore,
La terre et les esprits de richesses sans corps.
Laissez-nous décider, goûter cette saison,
Où chaque jour éclaire une ultime raison.
Nous marchons sous le ciel, porteurs d’un fier étendard,
Criant à l’univers : “Nous vivons, nous avons part !”
Que la société change, qu’elle entende nos voix,
Les seniors sont vivants, maîtres de leurs choix.
Nos droits sont des piliers, nul ne peut les briser,
Nous luttons pour demain, debout pour exister.
Voici notre serment, écrit dans l’infini,
Les cinq millions s’élèvent, et jamais ne faiblit.
Loin d’être des fantômes oubliés par le sort.
Nos cœurs battent en chœur, l’écho de nos combats,
Nos rides sont des cartes où l’Histoire s’égare.
Qui ose nous réduire à des ombres sans voix ?
Nos âmes sont des flammes, réclamant tous nos droits.
Nous avons bâti l’arbre, enraciné le sol,
Et l’avenir fleurit sur l’effort de nos mols.
Les chaînes de l’oubli veulent clore nos mémoires,
Mais nous portons le feu, la clarté de l’espoir.
Notre âge est un trésor, un phare dans la nuit,
Pas un poids que l’on cache en silence et ennui.
Que tombent les mépris, les murs de l’arrogance,
Nous sommes la colonne qui soutient votre danse.
Nos mains, bien qu’usées, ensemencent encore,
La terre et les esprits de richesses sans corps.
Laissez-nous décider, goûter cette saison,
Où chaque jour éclaire une ultime raison.
Nous marchons sous le ciel, porteurs d’un fier étendard,
Criant à l’univers : “Nous vivons, nous avons part !”
Que la société change, qu’elle entende nos voix,
Les seniors sont vivants, maîtres de leurs choix.
Nos droits sont des piliers, nul ne peut les briser,
Nous luttons pour demain, debout pour exister.
Voici notre serment, écrit dans l’infini,
Les cinq millions s’élèvent, et jamais ne faiblit.
Ce poème est un vibrant cri de révolte des seniors marocains, rappelant qu’ils sont cinq millions, bien vivants et toujours déterminés à défendre leurs droits.
Refusant l’oubli et le mépris, les aînés se présentent comme des piliers de la société, porteurs d’un riche héritage et d’une sagesse précieuse. Chaque ride raconte une histoire, chaque effort passé a façonné l’avenir des générations suivantes. Ils dénoncent les stéréotypes qui les enferment dans un rôle d’invisibles ou de fardeaux.
Au contraire, ils revendiquent leur place dans la société, leur droit de décider et de participer pleinement à la vie collective. Ce poème célèbre leur résilience, leur force et leur espoir d’être entendus. À travers des alexandrins harmonieux, il réaffirme leur volonté de continuer à briller, à exister et à lutter pour un avenir plus juste, où leur voix compte autant que les autres.
Au contraire, ils revendiquent leur place dans la société, leur droit de décider et de participer pleinement à la vie collective. Ce poème célèbre leur résilience, leur force et leur espoir d’être entendus. À travers des alexandrins harmonieux, il réaffirme leur volonté de continuer à briller, à exister et à lutter pour un avenir plus juste, où leur voix compte autant que les autres.