Par Adnane Benchakroun
Ô bonheur chimérique, illusion fugitive,
Dans les recoins des cœurs, ta flamme se ravive.
Mais je ne crois en toi, spectre insaisissable,
Quand le bien-être, lui, se montre plus durable.
Le bien-être, lui seul, s’apprend avec ardeur,
Il se cultive au jour par la constante labeur.
Comme un athlète forge ses muscles en douleur,
L’esprit aussi se forme, résistant à l’horreur.
Une recherche dit que la pratique assidue
Apporte des bienfaits en âmes éperdues.
Mais il faut, pour cela, persévérance pure,
Ou les fruits du labeur s’effaceront sans cure.
Tels les sportifs qui s’entraînent chaque jour,
Notre mental exige un pareil long séjour.
Pas d’éphémère éclat, ni de fragile amour,
Mais un travail constant, éloignant les détours.
Une séance unique ne suffit en aucun cas,
À garder le corps fort, vibrant et plein d’appas.
Ainsi notre esprit doit être entretenu,
Pour que le bien-être soit vraiment soutenu.
Sans effort régulier, la santé s’effiloche,
L’esprit retombe alors en cette froide poche,
Où le bonheur s’éteint, laissant place au néant,
Tandis que le bien-être rayonne, éclatant.
Le chemin du bien-être est pavé de sueur,
Il demande de l’âme une grande vigueur.
Point de miracle ici, ni de promesses vaines,
Juste la constance qui au bonheur s’enchaîne.
Ne soyons pas dupes des illusions passées,
Le bien-être se forge par l’âme et ses pensées.
Les efforts répétés, le chemin lumineux,
Écartent les ténèbres, nous rendent harmonieux.
L’esprit comme le corps, exige le labeur,
Pour atteindre enfin cette douce saveur.
Le bonheur peut passer, fragile et incertain,
Mais le bien-être, lui, reste un solide lien.
Apprenons chaque jour à cultiver notre être,
Par la réflexion, la pratique et l’âtre.
Le bien-être se gagne, il n’est pas un hasard,
Mais le fruit du travail, du vrai et non du fard.
Les vagues de la vie, l’océan des tempêtes,
Ne sauraient ébranler l’âme bien en tête.
Car en forgeant l’esprit, en taillant son bien-être,
Nous affrontons le monde, victorieux en maître.
Oublions les mirages d’un bonheur factice,
Cherchons la vérité, le bien-être propice.
Par l’effort quotidien, par l’âme affermie,
Nous bâtissons en nous une douce harmonie.
Ainsi le bien-être, constant compagnon,
Nous guide dans la vie, loin de toute illusion.
Et le bonheur alors, simple et sincère éclat,
Pourrait, de temps en temps, nous toucher délicat.
Dans les recoins des cœurs, ta flamme se ravive.
Mais je ne crois en toi, spectre insaisissable,
Quand le bien-être, lui, se montre plus durable.
Le bien-être, lui seul, s’apprend avec ardeur,
Il se cultive au jour par la constante labeur.
Comme un athlète forge ses muscles en douleur,
L’esprit aussi se forme, résistant à l’horreur.
Une recherche dit que la pratique assidue
Apporte des bienfaits en âmes éperdues.
Mais il faut, pour cela, persévérance pure,
Ou les fruits du labeur s’effaceront sans cure.
Tels les sportifs qui s’entraînent chaque jour,
Notre mental exige un pareil long séjour.
Pas d’éphémère éclat, ni de fragile amour,
Mais un travail constant, éloignant les détours.
Une séance unique ne suffit en aucun cas,
À garder le corps fort, vibrant et plein d’appas.
Ainsi notre esprit doit être entretenu,
Pour que le bien-être soit vraiment soutenu.
Sans effort régulier, la santé s’effiloche,
L’esprit retombe alors en cette froide poche,
Où le bonheur s’éteint, laissant place au néant,
Tandis que le bien-être rayonne, éclatant.
Le chemin du bien-être est pavé de sueur,
Il demande de l’âme une grande vigueur.
Point de miracle ici, ni de promesses vaines,
Juste la constance qui au bonheur s’enchaîne.
Ne soyons pas dupes des illusions passées,
Le bien-être se forge par l’âme et ses pensées.
Les efforts répétés, le chemin lumineux,
Écartent les ténèbres, nous rendent harmonieux.
L’esprit comme le corps, exige le labeur,
Pour atteindre enfin cette douce saveur.
Le bonheur peut passer, fragile et incertain,
Mais le bien-être, lui, reste un solide lien.
Apprenons chaque jour à cultiver notre être,
Par la réflexion, la pratique et l’âtre.
Le bien-être se gagne, il n’est pas un hasard,
Mais le fruit du travail, du vrai et non du fard.
Les vagues de la vie, l’océan des tempêtes,
Ne sauraient ébranler l’âme bien en tête.
Car en forgeant l’esprit, en taillant son bien-être,
Nous affrontons le monde, victorieux en maître.
Oublions les mirages d’un bonheur factice,
Cherchons la vérité, le bien-être propice.
Par l’effort quotidien, par l’âme affermie,
Nous bâtissons en nous une douce harmonie.
Ainsi le bien-être, constant compagnon,
Nous guide dans la vie, loin de toute illusion.
Et le bonheur alors, simple et sincère éclat,
Pourrait, de temps en temps, nous toucher délicat.