Selon le quotidien Assabah du mercredi 8 décembre, Pas moins de 16 athlètes ont été accusés de dopage et licenciés par la Fédération royale marocaine d’athlétisme (FRMA) qui a décidé de faire le ménage dans ce sport souillé par ce mode de triche.
Parmi ces athlètes impliqués dans cette affaire, certains font partie des différentes catégories d'âge de la sélection nationale, dont certains ont été écartés du championnat du monde des jeunes qui a eu lieu au Kenya.
La fédération a pris à-bras-le corps cette affaire, écartant 13 athlètes sur une liste de 24 qui devait participer au championnat du monde. Finalement, seuls 9 athlètes y ont pris part avec de modestes résultats à la clé.
Selon le même quotidien, plusieurs athlètes épinglés dans cette affaire avaient déjà écopé d’une sanction dans une affaire similaire, avant de récidiver. Cela constitue une circonstance aggravante qui les expose à des sanctions plus sévères se situant entre 4 et 8 ans de suspension. En conséquence, cette affaire de dopage va mettre fin à la carrière de plusieurs athlètes trentenaires, alors que d’autres ont décidé de mettre un terme à leur carrière.
La FRMA et la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) ont mené une opération commune pour procéder à des contrôles des athlètes avant le championnat du monde, comme prévu par les procédures le règlement en vigueur.
En faisant preuve de rigidité, la FRMA a décidé de frapper fort en imposant le contrôle anti-dopage lors du championnat national et en prononçant des sanctions très sévères pour espérer sortir de la liste noire de l'IAAF.
Parmi ces athlètes impliqués dans cette affaire, certains font partie des différentes catégories d'âge de la sélection nationale, dont certains ont été écartés du championnat du monde des jeunes qui a eu lieu au Kenya.
La fédération a pris à-bras-le corps cette affaire, écartant 13 athlètes sur une liste de 24 qui devait participer au championnat du monde. Finalement, seuls 9 athlètes y ont pris part avec de modestes résultats à la clé.
Selon le même quotidien, plusieurs athlètes épinglés dans cette affaire avaient déjà écopé d’une sanction dans une affaire similaire, avant de récidiver. Cela constitue une circonstance aggravante qui les expose à des sanctions plus sévères se situant entre 4 et 8 ans de suspension. En conséquence, cette affaire de dopage va mettre fin à la carrière de plusieurs athlètes trentenaires, alors que d’autres ont décidé de mettre un terme à leur carrière.
La FRMA et la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) ont mené une opération commune pour procéder à des contrôles des athlètes avant le championnat du monde, comme prévu par les procédures le règlement en vigueur.
En faisant preuve de rigidité, la FRMA a décidé de frapper fort en imposant le contrôle anti-dopage lors du championnat national et en prononçant des sanctions très sévères pour espérer sortir de la liste noire de l'IAAF.