Lors de la fouille, les douaniers ont découvert des substances narcotiques en sa possession, notamment des cigarettes électroniques contenant de l'huile de marijuana. L’artiste a reconnu avoir ces substances pour usage personnel, affirmant qu'il ignorait leur interdiction en Égypte, selon plusieurs médias locaux.
Transfert au parquet et procédure judiciaire
Après la découverte des substances illégales, un procès-verbal a été rédigé contre Saad El Soghayar, qui a ensuite été transféré au parquet pour être interrogé. Les autorités devront maintenant déterminer les circonstances exactes de l’affaire et évaluer les sanctions potentielles. L’artiste risque des poursuites judiciaires pour possession de drogues, un délit sévèrement puni par la loi égyptienne.
Un rappel de l’affaire Mouna Shalabi
Cette arrestation rappelle celle de l'actrice égyptienne Mouna Shalabi, survenue il y a deux ans dans des circonstances similaires. Arrêtée à son retour des États-Unis pour possession de substances narcotiques, elle avait été condamnée à un an de prison avec sursis et une amende de 10 000 livres égyptiennes. La Cour de cassation avait confirmé ce verdict en mai dernier, montrant la sévérité des autorités égyptiennes face à de tels délits.
L'ODJ avec lesiteinfo
Transfert au parquet et procédure judiciaire
Après la découverte des substances illégales, un procès-verbal a été rédigé contre Saad El Soghayar, qui a ensuite été transféré au parquet pour être interrogé. Les autorités devront maintenant déterminer les circonstances exactes de l’affaire et évaluer les sanctions potentielles. L’artiste risque des poursuites judiciaires pour possession de drogues, un délit sévèrement puni par la loi égyptienne.
Un rappel de l’affaire Mouna Shalabi
Cette arrestation rappelle celle de l'actrice égyptienne Mouna Shalabi, survenue il y a deux ans dans des circonstances similaires. Arrêtée à son retour des États-Unis pour possession de substances narcotiques, elle avait été condamnée à un an de prison avec sursis et une amende de 10 000 livres égyptiennes. La Cour de cassation avait confirmé ce verdict en mai dernier, montrant la sévérité des autorités égyptiennes face à de tels délits.
L'ODJ avec lesiteinfo