Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a récemment approuvé un financement de 120 millions d’euros pour soutenir le programme d’appui à la transformation pour une université marocaine digitale, entrepreneuriale et inclusive (UM4.0). Ce programme ambitieux vise à valoriser le capital humain et à autonomiser les jeunes Marocains en facilitant un accès inclusif à un enseignement supérieur de qualité, innovant et en harmonie avec l’écosystème territorial.
Le financement permettra notamment la construction et l’équipement de la Faculté de médecine et de pharmacie de Béni Mellal, qui pourra accueillir 4 500 étudiants. De plus, cinq cités universitaires, chacune d’une capacité de 1 500 lits, seront érigées à Larache, Oujda, Safi, Taroudant et Béni Mellal. Ces infrastructures sont essentielles pour répondre à la demande croissante d’hébergement pour les étudiants.
En parallèle, le programme prévoit la création de 10 centres de coding agiles, ouverts sur le monde professionnel, visant à développer un apprentissage actif centré sur les projets. Ces centres offriront aux étudiants des compétences techniques précieuses et adaptées aux besoins du marché du travail.
Pour renforcer l’employabilité des jeunes, des centres de carrière seront établis dans les universités, offrant des services d’accompagnement à 130 000 étudiants, tant sur site qu’en ligne. Douze unités d’insertion professionnelle et autant de centres d’appui à l’entrepreneuriat seront également mis en place, bénéficiant respectivement à 15 000 étudiants et certifiant les compétences entrepreneuriales de 20 000 autres.
La digitalisation est un autre pilier crucial de ce programme. Il inclut la mise en place de services de recherche pédagogique et scientifique digitalisés, avec des plateformes d’orientation, de renforcement des capacités, de gestion de la mobilité et des bourses, et d’e-learning. Une infrastructure informatique robuste et un datacenter seront également déployés pour soutenir ces initiatives.
Pour garantir l’excellence académique, 167 « parcours d’excellence » seront créés dans les centres d’excellence universitaires, accessibles à tous les étudiants. La formation continue des enseignants du supérieur, notamment les nouveaux recrutés, sera également une priorité, tout comme le développement d’outils d’aide à la décision pour la gestion, le suivi et l’évaluation du système d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation.
Ce financement s’inscrit dans les priorités du programme gouvernemental 2021-2026 du Maroc, qui met l’accent sur le renforcement des fondements de « l’État social » à travers une réforme profonde du secteur de l’éducation. Le Plan national d’accélération de la transformation de l’écosystème de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation, connu sous le nom de « Pacte ESRI 2030 », est au cœur de cette vision. Ce plan repose sur trois leviers de changement : la transformation digitale, la performance du système et la structuration, l’organisation et la régulation, et vise à promouvoir l’excellence académique, scientifique et opérationnelle.
Avec ce soutien de la BAD, le Maroc est bien positionné pour accélérer le développement et la transformation durable de son écosystème d’enseignement supérieur, répondant ainsi aux besoins des étudiants et des entreprises et contribuant à un avenir plus inclusif et prospère.
Le financement permettra notamment la construction et l’équipement de la Faculté de médecine et de pharmacie de Béni Mellal, qui pourra accueillir 4 500 étudiants. De plus, cinq cités universitaires, chacune d’une capacité de 1 500 lits, seront érigées à Larache, Oujda, Safi, Taroudant et Béni Mellal. Ces infrastructures sont essentielles pour répondre à la demande croissante d’hébergement pour les étudiants.
En parallèle, le programme prévoit la création de 10 centres de coding agiles, ouverts sur le monde professionnel, visant à développer un apprentissage actif centré sur les projets. Ces centres offriront aux étudiants des compétences techniques précieuses et adaptées aux besoins du marché du travail.
Pour renforcer l’employabilité des jeunes, des centres de carrière seront établis dans les universités, offrant des services d’accompagnement à 130 000 étudiants, tant sur site qu’en ligne. Douze unités d’insertion professionnelle et autant de centres d’appui à l’entrepreneuriat seront également mis en place, bénéficiant respectivement à 15 000 étudiants et certifiant les compétences entrepreneuriales de 20 000 autres.
La digitalisation est un autre pilier crucial de ce programme. Il inclut la mise en place de services de recherche pédagogique et scientifique digitalisés, avec des plateformes d’orientation, de renforcement des capacités, de gestion de la mobilité et des bourses, et d’e-learning. Une infrastructure informatique robuste et un datacenter seront également déployés pour soutenir ces initiatives.
Pour garantir l’excellence académique, 167 « parcours d’excellence » seront créés dans les centres d’excellence universitaires, accessibles à tous les étudiants. La formation continue des enseignants du supérieur, notamment les nouveaux recrutés, sera également une priorité, tout comme le développement d’outils d’aide à la décision pour la gestion, le suivi et l’évaluation du système d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation.
Ce financement s’inscrit dans les priorités du programme gouvernemental 2021-2026 du Maroc, qui met l’accent sur le renforcement des fondements de « l’État social » à travers une réforme profonde du secteur de l’éducation. Le Plan national d’accélération de la transformation de l’écosystème de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation, connu sous le nom de « Pacte ESRI 2030 », est au cœur de cette vision. Ce plan repose sur trois leviers de changement : la transformation digitale, la performance du système et la structuration, l’organisation et la régulation, et vise à promouvoir l’excellence académique, scientifique et opérationnelle.
Avec ce soutien de la BAD, le Maroc est bien positionné pour accélérer le développement et la transformation durable de son écosystème d’enseignement supérieur, répondant ainsi aux besoins des étudiants et des entreprises et contribuant à un avenir plus inclusif et prospère.
Le financement permettra la construction et l’équipement de la Faculté de médecine et de pharmacie de Béni Mellal, avec une capacité d'accueil de 4 500 étudiants. En parallèle, cinq cités universitaires seront construites à Larache, Oujda, Safi, Taroudant et Béni Mellal, chacune pouvant accueillir 1 500 étudiants. Ces infrastructures sont cruciales pour répondre à la demande croissante d’hébergement étudiant.
Le programme prévoit également la création de 10 centres de coding agiles, en lien direct avec le monde professionnel, favorisant un apprentissage basé sur des projets pratiques. Ces centres offriront aux étudiants des compétences techniques en adéquation avec les exigences du marché du travail.
Pour renforcer l’employabilité des jeunes, des centres de carrière seront mis en place dans les universités, offrant des services d’accompagnement à 130 000 étudiants, tant sur site qu’en ligne. De plus, 12 unités d’insertion professionnelle et 12 centres d’appui à l’entrepreneuriat bénéficieront à 15 000 étudiants et certifieront les compétences entrepreneuriales de 20 000 autres.
La digitalisation constitue un pilier fondamental du programme. Elle inclut la mise en place de services de recherche pédagogique et scientifique digitalisés, des plateformes d’orientation et de renforcement des capacités, ainsi que des systèmes de gestion de la mobilité et des bourses. Un datacenter robuste sera déployé pour soutenir ces initiatives.
Pour assurer l’excellence académique, 167 « parcours d’excellence » seront créés dans les centres universitaires, accessibles à tous les étudiants. La formation continue des enseignants, en particulier les nouveaux recrutés, sera une priorité, ainsi que le développement d’outils d’aide à la décision pour la gestion et l’évaluation du système d’enseignement supérieur.
Ce financement s’inscrit dans le cadre des priorités du programme gouvernemental 2021-2026 du Maroc, axé sur le renforcement des fondements de « l’État social » à travers une réforme profonde du secteur de l’éducation. Le Plan national d’accélération de la transformation de l’écosystème de l’enseignement supérieur, connu sous le nom de « Pacte ESRI 2030 », repose sur trois leviers de changement : la transformation digitale, la performance du système et la structuration et régulation. Ce plan vise à promouvoir l’excellence académique, scientifique et opérationnelle.
Avec le soutien de la BAD, le Maroc est bien positionné pour accélérer le développement et la transformation durable de son écosystème d’enseignement supérieur. Ce programme répondra aux besoins des étudiants et des entreprises, contribuant ainsi à un avenir plus inclusif et prospère pour le pays.
Le programme prévoit également la création de 10 centres de coding agiles, en lien direct avec le monde professionnel, favorisant un apprentissage basé sur des projets pratiques. Ces centres offriront aux étudiants des compétences techniques en adéquation avec les exigences du marché du travail.
Pour renforcer l’employabilité des jeunes, des centres de carrière seront mis en place dans les universités, offrant des services d’accompagnement à 130 000 étudiants, tant sur site qu’en ligne. De plus, 12 unités d’insertion professionnelle et 12 centres d’appui à l’entrepreneuriat bénéficieront à 15 000 étudiants et certifieront les compétences entrepreneuriales de 20 000 autres.
La digitalisation constitue un pilier fondamental du programme. Elle inclut la mise en place de services de recherche pédagogique et scientifique digitalisés, des plateformes d’orientation et de renforcement des capacités, ainsi que des systèmes de gestion de la mobilité et des bourses. Un datacenter robuste sera déployé pour soutenir ces initiatives.
Pour assurer l’excellence académique, 167 « parcours d’excellence » seront créés dans les centres universitaires, accessibles à tous les étudiants. La formation continue des enseignants, en particulier les nouveaux recrutés, sera une priorité, ainsi que le développement d’outils d’aide à la décision pour la gestion et l’évaluation du système d’enseignement supérieur.
Ce financement s’inscrit dans le cadre des priorités du programme gouvernemental 2021-2026 du Maroc, axé sur le renforcement des fondements de « l’État social » à travers une réforme profonde du secteur de l’éducation. Le Plan national d’accélération de la transformation de l’écosystème de l’enseignement supérieur, connu sous le nom de « Pacte ESRI 2030 », repose sur trois leviers de changement : la transformation digitale, la performance du système et la structuration et régulation. Ce plan vise à promouvoir l’excellence académique, scientifique et opérationnelle.
Avec le soutien de la BAD, le Maroc est bien positionné pour accélérer le développement et la transformation durable de son écosystème d’enseignement supérieur. Ce programme répondra aux besoins des étudiants et des entreprises, contribuant ainsi à un avenir plus inclusif et prospère pour le pays.