Pour cette 17e édition, le festival met en lumière le septième art du Maroc, une « terre de cinéma et de tournage » qui continue de se distinguer à l'international. Dès mardi matin, le drapeau marocain a été hissé à l'hôtel de ville pour marquer le début de cet hommage, célébrant la richesse et la diversité de la création cinématographique marocaine.
Une rétrospective marocaine pour explorer les talents du cinéma
Le public a déjà commencé à découvrir les œuvres emblématiques du cinéma marocain, avec une rétrospective qui s'étend tout au long du festival, du 27 août au 1er septembre. Hier, le premier long-métrage marocain "Fils maudit" de Mohamed Ousfour a été projeté, offrant aux spectateurs un aperçu des débuts du cinéma marocain. D'autres films marquants, tels que "Le Grand Voyage" d'Ismaël Ferroukhi, "Ali Zaoua, prince de la rue" de Nabil Ayouch, "Marock" de Leila Marrakchi et "Adam" de Maryam Touzani, seront également mis à l'honneur au cours des prochains jours. Ces œuvres, sélectionnées pour leur capacité à capturer les réalités sociales du pays, témoignent de l'évolution du cinéma marocain depuis les années 1950.
Une programmation riche et variée en cours
Le festival, qui a débuté hier, se poursuit avec une programmation éclectique comprenant plus de soixante films, dont dix en compétition et une quinzaine en avant-première. Aujourd'hui, les festivaliers pourront découvrir des projections en avant-première telles que "Everybody Loves Touda" de Nabil Ayouch et "La Damnée" d'Abel Danan. En parallèle des projections, une exposition de photos de l'artiste marocaine Leila Alaoui se tient en collaboration avec l'Institut du monde arabe (IMA). De plus, un "Marché marocain" a été installé en ville, permettant aux visiteurs de s'immerger dans l'artisanat et la culture marocaine.
Depuis sa création en 2008, le FFA d'Angoulême s'est imposé comme un événement culturel majeur, célébrant chaque année la diversité du cinéma francophone.
Une rétrospective marocaine pour explorer les talents du cinéma
Le public a déjà commencé à découvrir les œuvres emblématiques du cinéma marocain, avec une rétrospective qui s'étend tout au long du festival, du 27 août au 1er septembre. Hier, le premier long-métrage marocain "Fils maudit" de Mohamed Ousfour a été projeté, offrant aux spectateurs un aperçu des débuts du cinéma marocain. D'autres films marquants, tels que "Le Grand Voyage" d'Ismaël Ferroukhi, "Ali Zaoua, prince de la rue" de Nabil Ayouch, "Marock" de Leila Marrakchi et "Adam" de Maryam Touzani, seront également mis à l'honneur au cours des prochains jours. Ces œuvres, sélectionnées pour leur capacité à capturer les réalités sociales du pays, témoignent de l'évolution du cinéma marocain depuis les années 1950.
Une programmation riche et variée en cours
Le festival, qui a débuté hier, se poursuit avec une programmation éclectique comprenant plus de soixante films, dont dix en compétition et une quinzaine en avant-première. Aujourd'hui, les festivaliers pourront découvrir des projections en avant-première telles que "Everybody Loves Touda" de Nabil Ayouch et "La Damnée" d'Abel Danan. En parallèle des projections, une exposition de photos de l'artiste marocaine Leila Alaoui se tient en collaboration avec l'Institut du monde arabe (IMA). De plus, un "Marché marocain" a été installé en ville, permettant aux visiteurs de s'immerger dans l'artisanat et la culture marocaine.
Depuis sa création en 2008, le FFA d'Angoulême s'est imposé comme un événement culturel majeur, célébrant chaque année la diversité du cinéma francophone.
L'ODJ avec lematin