Organisée conjointement par le ministère du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, et l’UNESCO, cette rencontre, intitulée « Porteurs de flambeaux, trésor des arts traditionnels marocains », a été marquée par une allocution inspirante de M. André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi et Président fondateur de l’Association Essaouira-Mogador.
Dans son discours, M. Azoulay a souligné que l’artisanat marocain constitue une véritable « passerelle vertueuse », unissant dans son essence la diversité culturelle du Royaume tout en reflétant son unité. Il a décrit l’artisanat comme une incarnation vivante de la civilisation marocaine, un héritage transmis de génération en génération, qui permet au pays de s’exprimer à travers l’art, les traditions et le terroir. La ville d’Essaouira, reconnue pour sa créativité artisanale, en est un exemple éloquent, avec plus de 5.000 artisans inscrits sur le registre de commerce.
L’un des enjeux majeurs évoqués lors de cet événement est la préservation des métiers artisanaux en voie de disparition. M. Azoulay a salué le programme ambitieux développé en partenariat avec l’UNESCO, visant à former des apprentis dans des métiers rares tels que le feutrage en laine ou la fabrication de selles brodées. Ce programme, unique au monde avec seulement deux pays bénéficiaires le Maroc et l’Inde, représente une stratégie durable pour sauvegarder ce patrimoine immatériel.
Le Conseiller de SM le Roi a également insisté sur la nécessité d’élargir et promouvoir cette initiative afin de ressusciter ces métiers ancestraux et rendre hommage aux maîtres artisans qui en sont les gardiens. Il a décrit ce partenariat avec l’UNESCO comme une démarche ambitieuse et un contrat moral pour préserver et transmettre ce savoir-faire aux générations futures.
La cérémonie a également été l’occasion de rendre un vibrant hommage aux maîtres artisans pour leur engagement à protéger cet héritage culturel. En présence notamment de la ministre Fatim-Zahra Ammor et du Wali-Coordinateur national de l’INDH, Mohammed Dardouri, cet événement a témoigné d’une mobilisation collective pour garantir la pérennité des arts traditionnels marocains.
Dans son discours, M. Azoulay a souligné que l’artisanat marocain constitue une véritable « passerelle vertueuse », unissant dans son essence la diversité culturelle du Royaume tout en reflétant son unité. Il a décrit l’artisanat comme une incarnation vivante de la civilisation marocaine, un héritage transmis de génération en génération, qui permet au pays de s’exprimer à travers l’art, les traditions et le terroir. La ville d’Essaouira, reconnue pour sa créativité artisanale, en est un exemple éloquent, avec plus de 5.000 artisans inscrits sur le registre de commerce.
L’un des enjeux majeurs évoqués lors de cet événement est la préservation des métiers artisanaux en voie de disparition. M. Azoulay a salué le programme ambitieux développé en partenariat avec l’UNESCO, visant à former des apprentis dans des métiers rares tels que le feutrage en laine ou la fabrication de selles brodées. Ce programme, unique au monde avec seulement deux pays bénéficiaires le Maroc et l’Inde, représente une stratégie durable pour sauvegarder ce patrimoine immatériel.
Le Conseiller de SM le Roi a également insisté sur la nécessité d’élargir et promouvoir cette initiative afin de ressusciter ces métiers ancestraux et rendre hommage aux maîtres artisans qui en sont les gardiens. Il a décrit ce partenariat avec l’UNESCO comme une démarche ambitieuse et un contrat moral pour préserver et transmettre ce savoir-faire aux générations futures.
La cérémonie a également été l’occasion de rendre un vibrant hommage aux maîtres artisans pour leur engagement à protéger cet héritage culturel. En présence notamment de la ministre Fatim-Zahra Ammor et du Wali-Coordinateur national de l’INDH, Mohammed Dardouri, cet événement a témoigné d’une mobilisation collective pour garantir la pérennité des arts traditionnels marocains.