Depuis quelques années, des cinéastes internationaux s'empressent de choisir le Maroc comme lieu de tournage de films et autres fictions. Après les Français et les Américains, les Coréens ont pour la première fois exploré le potentiel artistique du Maroc. Un fait rarissime, mais qui annonce le début d'un avenir cinématographique prometteur pour le Maroc !
Interviewé par Hespress Fr, Anas El Baz précise que « c’est un film tourné entre Tanger, Casablanca et Marrakech. Inspiré d’une vraie histoire des années 80 quand l’équipe de l’ambassade de la Corée au Liban a été kidnappée pour une rançon. Je joue le rôle du méchant, le chef de gang libanais ».
« Une expérience très enrichissante pour mon parcours, qui m’a permis de rencontrer Kim Sung-Hoon, celui qui a fait la célèbre série sur Netflix +Kingdom+. J’ai eu le plaisir de travailler avec d’autres acteurs marocains : Karim Saadi, Fahd Benchemssi, Mohcine Malzi, Faycal Zeglat et l’acteur syrien Youssef Ramal » poursuit-t-il.
Interviewé par Hespress Fr, Anas El Baz précise que « c’est un film tourné entre Tanger, Casablanca et Marrakech. Inspiré d’une vraie histoire des années 80 quand l’équipe de l’ambassade de la Corée au Liban a été kidnappée pour une rançon. Je joue le rôle du méchant, le chef de gang libanais ».
« Une expérience très enrichissante pour mon parcours, qui m’a permis de rencontrer Kim Sung-Hoon, celui qui a fait la célèbre série sur Netflix +Kingdom+. J’ai eu le plaisir de travailler avec d’autres acteurs marocains : Karim Saadi, Fahd Benchemssi, Mohcine Malzi, Faycal Zeglat et l’acteur syrien Youssef Ramal » poursuit-t-il.
Pour le réalisateur, Kim Seong-hoon (김성훈), un cinéaste coréen qui vient d’achever le tournage de son dernier opus, il s’est exprimé récemment à Séoul, notant que le Royaume "dispose d’une infrastructure bien établie pour le tournage. J’ai entendu dire que de nombreux films hollywoodiens y ont été réalisés. L’atmosphère unique et sophistiquée du Maroc correspondait parfaitement à l’ambiance générale de notre film ".
Notons que Ransomed sera projeté début août et mettra en avant le Maroc. D'une durée de 132 minutes, le film oscille entre action, drame et politique, offrant au public une aventure assez particulière. « Une excellente nouvelle et une étape porteuse d’un souffle artistique pour notre pays ! », se réjouit Anas El Baz.
L'ODJ avec Hespress