Dans ce cadre, plus de 377 candidatures ont été reçues en l’espace de deux mois seulement d’appel à projet en matière de support de projets culturels créatifs. Ce sont des jeunes de la tranche d’âge 18-35 ans, provenant d’Algérie, d’Égypte, de Jordanie, du Liban, du Maroc, de Palestine, de Tunisie et de la diaspora libyenne et syrienne, qui ont soumis leurs projets créatifs à la sélection du YLCCI.
L’association a sélectionné 32 projets diversifiés qui mettent l’accent sur la collaboration, la contextualisation et la durabilité, et ce, dans plusieurs secteurs : architecture, géographie, productions audio-visuelles, mode durable ou des propositions d’écriture créative.
« Le YLCCI a répondu à une réalité que nous avons pu esquisser à partir des évaluations des besoins et des leçons apprises des programmes précédents. Notre objectif principal consiste à favoriser un écosystème culturel vital, spécialement dans les régions défavorisées, et à nourrir la diversité et le dialogue entre l’ensemble des acteurs culturels de la région. », explique Mohab Saber, coordinateur de All-Around Culture, le programme qui sert d’ombrelle au YLCCI.
L’association a sélectionné 32 projets diversifiés qui mettent l’accent sur la collaboration, la contextualisation et la durabilité, et ce, dans plusieurs secteurs : architecture, géographie, productions audio-visuelles, mode durable ou des propositions d’écriture créative.
« Le YLCCI a répondu à une réalité que nous avons pu esquisser à partir des évaluations des besoins et des leçons apprises des programmes précédents. Notre objectif principal consiste à favoriser un écosystème culturel vital, spécialement dans les régions défavorisées, et à nourrir la diversité et le dialogue entre l’ensemble des acteurs culturels de la région. », explique Mohab Saber, coordinateur de All-Around Culture, le programme qui sert d’ombrelle au YLCCI.
« Repenser, recadrer et refaçonner » : une phase de recherche contextuelle nécessaire
Implémenté par l’association tunisienne « L’Art Rue », qui opère dans le cœur de la médina de Tunis, le YLCCI est convaincu que l’association culture-citoyenneté, est à même d’opérer un changement durable.
« L’action culturelle, dans son sens large, constitue l’essence de notre association. Nous croyons vraiment dans le pouvoir des connections entre les hommes et dans la sensibilisation créative pour provoquer un développement socio-économique et un changement positif », explique Camille Hoeltzel, chargée de la surveillance et de la coopération de projets à « L’Art Rue ».
« Plutôt que de nous limiter à distribuer des subventions, notre objectif consiste à soutenir réellement et à renforcer les jeunes esprits créatifs de la région en leur donnant le temps et les moyens pour faire naître des projets durables et collaboratifs qui sont profondément enracinés dans leur contexte et environnement », explique Camille.
À travers une approche unique en deux phases : une allocation de recherche qui s’étend d’avril à octobre 2021 et une phase de production qui débute en 2022, YLCCI vise à renforcer des jeunes venant des sept pays sélectionnés du monde arabe pour construire des projets créatifs de A à Z.
« Ces ressources leur donnent l’opportunité en passant par le temps qui leur est accordé, le support technique et la guidance, aussi-bien que la subvention, de réfléchir, façonner et produire les projets qui pourront avoir le plus grand impact sur leur communauté. C’est pourquoi la phase de recherche est indispensable », souligne Camille.
« L’action culturelle, dans son sens large, constitue l’essence de notre association. Nous croyons vraiment dans le pouvoir des connections entre les hommes et dans la sensibilisation créative pour provoquer un développement socio-économique et un changement positif », explique Camille Hoeltzel, chargée de la surveillance et de la coopération de projets à « L’Art Rue ».
« Plutôt que de nous limiter à distribuer des subventions, notre objectif consiste à soutenir réellement et à renforcer les jeunes esprits créatifs de la région en leur donnant le temps et les moyens pour faire naître des projets durables et collaboratifs qui sont profondément enracinés dans leur contexte et environnement », explique Camille.
À travers une approche unique en deux phases : une allocation de recherche qui s’étend d’avril à octobre 2021 et une phase de production qui débute en 2022, YLCCI vise à renforcer des jeunes venant des sept pays sélectionnés du monde arabe pour construire des projets créatifs de A à Z.
« Ces ressources leur donnent l’opportunité en passant par le temps qui leur est accordé, le support technique et la guidance, aussi-bien que la subvention, de réfléchir, façonner et produire les projets qui pourront avoir le plus grand impact sur leur communauté. C’est pourquoi la phase de recherche est indispensable », souligne Camille.
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