Le président sortant Abdelmadjid Tebboune a été réélu avec un score digne d'une dictature de bande dessinée : 94,65% des voix. Sur les 5,6 millions de votes enregistrés, pas moins de 5,320 millions auraient choisi Tebboune, candidat indépendant, pour un nouveau mandat. L'élection s'est déroulée dans un contexte tendu, marqué par des accusations de fraudes et des taux d'abstention record.
Tandis que les officiels se félicitent de ce "plébiscite", les observateurs indépendants et les citoyens algériens se montrent sceptiques. Les réseaux sociaux algériens s'enflamment, certains comparant même les résultats à ceux d'un mauvais film de science-fiction. Pour beaucoup, cette élection reflète plus la volonté de maintenir le statu quo que l'expression d'une véritable volonté populaire.
Le régime algérien, bien qu'affirmant sa légitimité par les urnes, semble loin d'avoir convaincu ses détracteurs. La réélection de Tebboune ne fera probablement pas taire les voix dissidentes, ni apaiser les tensions sociales qui continuent de secouer le pays.
Tandis que les officiels se félicitent de ce "plébiscite", les observateurs indépendants et les citoyens algériens se montrent sceptiques. Les réseaux sociaux algériens s'enflamment, certains comparant même les résultats à ceux d'un mauvais film de science-fiction. Pour beaucoup, cette élection reflète plus la volonté de maintenir le statu quo que l'expression d'une véritable volonté populaire.
Le régime algérien, bien qu'affirmant sa légitimité par les urnes, semble loin d'avoir convaincu ses détracteurs. La réélection de Tebboune ne fera probablement pas taire les voix dissidentes, ni apaiser les tensions sociales qui continuent de secouer le pays.