Stade Mustapha Tchaker de Blida.
L’équipe nationale algérienne accueille, en ce moment, son homologue burkinabè dans le cadre de la 6e et dernière journée de la phase de groupes des éliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022. Les Fennecs n’ont besoin que d’un nul pour décrocher leur ticket pour les barrages, tandis que les Étalons doivent impérativement gagner.
Malheureusement pour eux, la pelouse du stade Mustapha Tchaker de Blida, ne les aidera point. En effet, le terrain est dans un état catastrophique et la pluie qui s’est abattue sur Blida n’a pas arrangé les choses.
Pourtant, la Confédération africaine de football a été avertie, il y a de cela plusieurs semaines, par la Fédération burkinabè sur l’état du stade algérien.
À la mi-temps, les deux sélections sont à égalité (1-1).
Malheureusement pour eux, la pelouse du stade Mustapha Tchaker de Blida, ne les aidera point. En effet, le terrain est dans un état catastrophique et la pluie qui s’est abattue sur Blida n’a pas arrangé les choses.
Pourtant, la Confédération africaine de football a été avertie, il y a de cela plusieurs semaines, par la Fédération burkinabè sur l’état du stade algérien.
“Par lettre N°2021-0652/FBF/SG du 14 octobre 2021, nous avons attiré votre attention sur la non-conformité de la pelouse du stade de Blida. Malgré cette démarche, dictée par le souci de préserver la santé et l’intégrité physique des acteurs et également de garantir la qualité du spectacle, nous constatons que notre requête n’a pas obtenu gain de cause. Du constat établi et des informations toujours en notre possession, le stade de Blida n’est pas conforme aux exigences dictées par la CAF et la FIFA et rien n’a été entrepris dans ce sens. Convaincus que vous êtes soucieux de protéger les joueurs et leur santé et que vous êtes attachés aux conditions qui président au déroulement de nos compétitions, il nous plait par la présente de solliciter à nouveau la programmation dudit match sur un autre stade”, avait écrit les dirigeants burkinabés dans leur lettre adressée au Secrétaire général de l’instance panafricaine, Véron Mosengo-Omba.
À la mi-temps, les deux sélections sont à égalité (1-1).