Difficultés financières pour l'Aïd Al-Adha au Maroc : 50% des ménages peinent à acheter un mouton. Malgré l'importance religieuse de la fête (82%), la tradition reste coûteuse. Les dépenses sont principalement couvertes par les salaires (50%) et les économies (30%), avec un recours à des prêts informels et à l'aide familiale.
La majorité ne croit pas en une réduction des prix par la politique gouvernementale et préférerait une aide directe. Malgré les difficultés, la privation de la fête est impensable pour la plupart, soulignant le besoin de révisions politiques.
La majorité ne croit pas en une réduction des prix par la politique gouvernementale et préférerait une aide directe. Malgré les difficultés, la privation de la fête est impensable pour la plupart, soulignant le besoin de révisions politiques.