Le tribunal a décidé de reporter l’affaire au 5 février prochain, afin de permettre à la défense de la partie civile, représentée par le père de la victime et l’Association marocaine des droits humains (AMDH), de préparer sa plaidoirie.
L’AMDH, qui soutient la victime, a réitéré sa demande d'une expertise génétique pour établir la filiation de l'enfant né du viol, tout en réclamant un durcissement des peines pour tous les responsables de cette grave violation des droits d'une enfant souffrant d'un handicap mental.
L’association a également souligné l'importance d’offrir à la victime une prise en charge médicale et un suivi psychologique adéquat. Elle a exprimé son profond regret de constater que la famille de la victime a été contrainte de déménager, en raison de l'humiliation sociale et du mépris, pour échapper à la stigmatisation.
Dans un communiqué, l’AMDH a affirmé que son soutien à la victime et son intervention en tant que partie civile visent à mettre fin à l’impunité entourant les crimes de viol et les violations atroces des droits des enfants, tout en œuvrant pour la justice et l'équité en faveur des victimes, de leurs familles et de la société.
Les défenseurs des droits humains au sein de l’association ont également mis en garde contre toute réforme du Code de la famille qui ne respecterait pas les principes fondamentaux d’égalité, de conformité avec les normes internationales des droits de l’homme, et l'intérêt supérieur de l'enfant.
Pour rappel, la victime, résidant dans le douar Oulad Salama de la commune d’Ouled Araad, a subi des abus répétés de la part de trois individus âgés de 60 à 72 ans. Le cauchemar de cette jeune fille s'est soldé par une grossesse et un accouchement par césarienne à l’hôpital Essalama, le vendredi 10 janvier. Le choc de cette réalité est insupportable, tant pour la victime que pour toute la société, qui doit faire face à de tels actes de barbarie.
Il est important de noter que l’AMDH avait déjà appelé à des actions judiciaires plus fermes contre les auteurs de ces crimes. Dans une lettre adressée au procureur général du roi près la cour d’appel de Marrakech, l’AMDH, section d’El Attaouia/Tamellalet, a exprimé son indignation face à cet acte odieux, qualifiant ce viol collectif d'une fillette handicapée de 13 ans de violation absolue des droits de l'enfant et d'acte de torture physique et psychologique.
L’AMDH a insisté sur la nécessité d’une enquête approfondie pour révéler la vérité et établir les responsabilités, tout en exigeant que la réponse judiciaire soit proportionnelle à l'horreur de ces faits.
L’AMDH, qui soutient la victime, a réitéré sa demande d'une expertise génétique pour établir la filiation de l'enfant né du viol, tout en réclamant un durcissement des peines pour tous les responsables de cette grave violation des droits d'une enfant souffrant d'un handicap mental.
L’association a également souligné l'importance d’offrir à la victime une prise en charge médicale et un suivi psychologique adéquat. Elle a exprimé son profond regret de constater que la famille de la victime a été contrainte de déménager, en raison de l'humiliation sociale et du mépris, pour échapper à la stigmatisation.
Dans un communiqué, l’AMDH a affirmé que son soutien à la victime et son intervention en tant que partie civile visent à mettre fin à l’impunité entourant les crimes de viol et les violations atroces des droits des enfants, tout en œuvrant pour la justice et l'équité en faveur des victimes, de leurs familles et de la société.
Les défenseurs des droits humains au sein de l’association ont également mis en garde contre toute réforme du Code de la famille qui ne respecterait pas les principes fondamentaux d’égalité, de conformité avec les normes internationales des droits de l’homme, et l'intérêt supérieur de l'enfant.
Pour rappel, la victime, résidant dans le douar Oulad Salama de la commune d’Ouled Araad, a subi des abus répétés de la part de trois individus âgés de 60 à 72 ans. Le cauchemar de cette jeune fille s'est soldé par une grossesse et un accouchement par césarienne à l’hôpital Essalama, le vendredi 10 janvier. Le choc de cette réalité est insupportable, tant pour la victime que pour toute la société, qui doit faire face à de tels actes de barbarie.
Il est important de noter que l’AMDH avait déjà appelé à des actions judiciaires plus fermes contre les auteurs de ces crimes. Dans une lettre adressée au procureur général du roi près la cour d’appel de Marrakech, l’AMDH, section d’El Attaouia/Tamellalet, a exprimé son indignation face à cet acte odieux, qualifiant ce viol collectif d'une fillette handicapée de 13 ans de violation absolue des droits de l'enfant et d'acte de torture physique et psychologique.
L’AMDH a insisté sur la nécessité d’une enquête approfondie pour révéler la vérité et établir les responsabilités, tout en exigeant que la réponse judiciaire soit proportionnelle à l'horreur de ces faits.