La star du Real Madrid Karim Benzema, accusé de complicité de tentative de chantage sur Mathieu Valbuena dans "l'affaire de la sextape". Le ministère Le ministère public a requis jeudi 10 mois de prison avec sursis contre ce dernier.
Une amende de 75.000 euros a également été demandée contre l'attaquant de l'équipe de France, candidat au Ballon d'or et absent du procès à Versailles.
Karim Benzema était le seul des cinq prévenus à ne pas avoir comparu à l’audience, en raison de ses obligations sportives. « Ce n’est pas n’importe qui, a justifié le procureur. Il est porteur d’une image, d’une notoriété, de valeurs qu’il est important de protéger. »
"Benzema n'est pas un bon samaritain venu porter secours, il a agi pour permettre aux négociateurs d'en venir à leur fin et aux maîtres-chanteurs de toucher de l'argent", a dit lors de son réquisitoire la procureure Ségolène Marés, qui a pointé l'"autorité et la notoriété en équipe de France" de l'ancien attaquant de l'Olympique lyonnais.
"Il s'inclut dans cette équipe, il s'associe dans ce projet" de tentative de chantage autour d'une vidéo intime, a-t-elle appuyé.
Tandis que les quatre autres prévenus, poursuivis pour chantage, le ministère public a requis des peines allant de 18 mois de prison avec sursis à quatre ans de prison.
Le joueur Benzema est soupçonné d’avoir fait pression sur Mathieu Valbuena, son ancien coéquipier de France pour qu’il paie des maîtres chanteurs qui menaçaient de révéler une vidéo intime dans laquelle il paraissait.
Pour Benzema, il s’agissait d’une simple conversation amicale visant à prévenir son partenaire. Valbuena parle au contraire d’une injonction à payer.
Une amende de 75.000 euros a également été demandée contre l'attaquant de l'équipe de France, candidat au Ballon d'or et absent du procès à Versailles.
Karim Benzema était le seul des cinq prévenus à ne pas avoir comparu à l’audience, en raison de ses obligations sportives. « Ce n’est pas n’importe qui, a justifié le procureur. Il est porteur d’une image, d’une notoriété, de valeurs qu’il est important de protéger. »
"Benzema n'est pas un bon samaritain venu porter secours, il a agi pour permettre aux négociateurs d'en venir à leur fin et aux maîtres-chanteurs de toucher de l'argent", a dit lors de son réquisitoire la procureure Ségolène Marés, qui a pointé l'"autorité et la notoriété en équipe de France" de l'ancien attaquant de l'Olympique lyonnais.
"Il s'inclut dans cette équipe, il s'associe dans ce projet" de tentative de chantage autour d'une vidéo intime, a-t-elle appuyé.
Tandis que les quatre autres prévenus, poursuivis pour chantage, le ministère public a requis des peines allant de 18 mois de prison avec sursis à quatre ans de prison.
Le joueur Benzema est soupçonné d’avoir fait pression sur Mathieu Valbuena, son ancien coéquipier de France pour qu’il paie des maîtres chanteurs qui menaçaient de révéler une vidéo intime dans laquelle il paraissait.
Pour Benzema, il s’agissait d’une simple conversation amicale visant à prévenir son partenaire. Valbuena parle au contraire d’une injonction à payer.