Le procès de Saïd Naciri, ancien président du Wydad de Casablanca, continue de susciter l’attention médiatique. Accusé dans une affaire de trafic de drogue impliquant le célèbre trafiquant connu sous le nom d’« Escobar du Sahara », Naciri fait face à des accusations graves.
Lors de la dernière audience, sa défense a rejeté les déclarations d’un témoin clé surnommé « le Malien », remettant en question leur crédibilité. Le procès a été reporté au 13 décembre, laissant planer de nombreuses interrogations sur l’issue de cette affaire.
Cette affaire met en lumière les liens présumés entre certaines figures influentes et des réseaux criminels, soulevant des questions sur la corruption et l’intégrité dans le sport marocain. L’impact sur l’image du Wydad de Casablanca, l’un des clubs les plus prestigieux du pays, est également préoccupant.
Des cas similaires ont été observés dans d’autres pays, comme l’affaire de la FIFA en 2015, qui a révélé des pratiques de corruption à grande échelle dans le monde du football.
Le procès de Saïd Naciri est un test pour la justice marocaine et pour la lutte contre la corruption. L’issue de cette affaire pourrait avoir des répercussions majeures sur le sport et la société marocaine.