Dans une affaire qui pourrait redéfinir la lutte contre la cyberhaine, l’auteure de Harry Potter, J.K. Rowling, et le milliardaire Elon Musk ont été cités dans une plainte pénale déposée auprès des autorités françaises pour des "actes de cyberharcèlement aggravé" à l'encontre de la boxeuse algérienne Imane Khelif. Cette plainte, déposée par l'avocat Nabil Boudi, a été transférée au centre anti-haine en ligne du parquet de Paris, illustrant la gravité des accusations portées contre ces figures publiques.
La plainte a été déposée sous X, une disposition de la loi française permettant de poursuivre des personnes non identifiées, garantissant ainsi une enquête approfondie sur tous les individus ayant pu contribuer à la diffusion de messages haineux, qu’ils aient utilisé des pseudonymes ou non. Bien que la plainte soit dirigée contre des "personnes inconnues," Rowling, Musk, et même l'ancien président américain Donald Trump, sont explicitement nommés, soulignant l’ampleur du dossier.
L'auteure du best-seller Harry Potter Series, J.K. Rowling a commenté une photo de Imane et son opposante italienne sur Twitter en disant:
Donald Trump a exprimé son avis sur sa plateforme Truth Social, en affirmant :
De son côté, Elon Musk a amplifié le débat en partageant un message de la nageuse américaine Riley Gaines, qui déclarait que :
Selon son avocat, ce harcèlement a eu un impact profond non seulement sur Khelif, mais aussi sur son entourage, marquant une blessure psychologique qui contraste avec sa victoire olympique.
L’affaire pourrait potentiellement s'étendre à l'international, grâce à des accords entre le parquet français et ses homologues étrangers pour lutter contre la cyberhaine. Si l’enquête aboutit, elle pourrait voir ces personnalités influentes se retrouver devant la justice pour répondre de leurs actes, marquant ainsi une étape importante dans la lutte contre la haine en ligne
Alors que l'enquête se poursuit, il reste à voir si les répercussions seront limitées aux cercles numériques ou si elles entraîneront des changements significatifs dans la manière dont les figures publiques interagissent avec les questions de genre et de sport.
La plainte a été déposée sous X, une disposition de la loi française permettant de poursuivre des personnes non identifiées, garantissant ainsi une enquête approfondie sur tous les individus ayant pu contribuer à la diffusion de messages haineux, qu’ils aient utilisé des pseudonymes ou non. Bien que la plainte soit dirigée contre des "personnes inconnues," Rowling, Musk, et même l'ancien président américain Donald Trump, sont explicitement nommés, soulignant l’ampleur du dossier.
L'auteure du best-seller Harry Potter Series, J.K. Rowling a commenté une photo de Imane et son opposante italienne sur Twitter en disant:
Le sourire narquois d'un homme qui sait qu'il est protégé par un établissement sportif misogyne, se délectant de la détresse d'une femme qu'il vient de frapper à la tête.
Donald Trump a exprimé son avis sur sa plateforme Truth Social, en affirmant :
" Je garderais les hommes en dehors des sports féminins".
De son côté, Elon Musk a amplifié le débat en partageant un message de la nageuse américaine Riley Gaines, qui déclarait que :
"les hommes n'ont pas leur place dans les sports féminins". Musk a retweeté cette déclaration en ajoutant : "Absolument".Imane Khelif, qui a récemment remporté la médaille d'or dans la catégorie poids welters féminins, a été la cible d’une campagne de haine en ligne suite à des accusations infondées sur son identité de genre. Des figures influentes, dont Rowling, Musk et Trump, ont amplifié ces attaques par des messages virulents, contribuant à un climat de harcèlement en ligne insoutenable.
Selon son avocat, ce harcèlement a eu un impact profond non seulement sur Khelif, mais aussi sur son entourage, marquant une blessure psychologique qui contraste avec sa victoire olympique.
L’affaire pourrait potentiellement s'étendre à l'international, grâce à des accords entre le parquet français et ses homologues étrangers pour lutter contre la cyberhaine. Si l’enquête aboutit, elle pourrait voir ces personnalités influentes se retrouver devant la justice pour répondre de leurs actes, marquant ainsi une étape importante dans la lutte contre la haine en ligne
Alors que l'enquête se poursuit, il reste à voir si les répercussions seront limitées aux cercles numériques ou si elles entraîneront des changements significatifs dans la manière dont les figures publiques interagissent avec les questions de genre et de sport.