Aïcha Ech-Channa est née en 1941 dans la nouvelle médina de Casablanca. Depuis plus de trente-cinq ans, elle se consacre et se bat pour les plus déshérités. Elle commence ses activités à la ligue de lutte conte la tuberculose.
Quant à son bénévolat, il débute pour l'Éducation Sanitaire avec la ligue de Protection de l'enfance et l'éducation sanitaire en relation avec le service d'Éducation Sanitaire
Elle a notamment été bénévole au planning familial, dont elle fut, au Maroc, l'une des pionnières. En 1972 journalistique en 1958 à la radio marocaine puis correspondante au Maroc de l'hebdomadaire Jeune Afrique anime la première émission télévisée de l'Éducation sanitaire à la télévision de Casablanca et fait ses débuts à l'Union nationale des femmes marocaines à Casablanca.
En 1985 elle fonde l'association Solidarité féminine pour aider les mères seules démunies et chargées d'enfants en bas âge à se prendre en charge par leur propre effort.
En 1995, l'association reçoit le prix des Droits de l'homme de la République Française à Paris. En 2009, Aïcha Ech-Channa est lauréate du Prix Opus, reconnaissance pour une action entamée dans un climat de doute et de contestation, surtout dans le camp des conservateurs.
Pour sensibiliser l'opinion, Aïcha Ech-Channa écrit Miseria, un livre émouvant (publié par les éditions du Fennec) dans lequel elle relate son expérience.
Quant à son bénévolat, il débute pour l'Éducation Sanitaire avec la ligue de Protection de l'enfance et l'éducation sanitaire en relation avec le service d'Éducation Sanitaire
Elle a notamment été bénévole au planning familial, dont elle fut, au Maroc, l'une des pionnières. En 1972 journalistique en 1958 à la radio marocaine puis correspondante au Maroc de l'hebdomadaire Jeune Afrique anime la première émission télévisée de l'Éducation sanitaire à la télévision de Casablanca et fait ses débuts à l'Union nationale des femmes marocaines à Casablanca.
En 1985 elle fonde l'association Solidarité féminine pour aider les mères seules démunies et chargées d'enfants en bas âge à se prendre en charge par leur propre effort.
En 1995, l'association reçoit le prix des Droits de l'homme de la République Française à Paris. En 2009, Aïcha Ech-Channa est lauréate du Prix Opus, reconnaissance pour une action entamée dans un climat de doute et de contestation, surtout dans le camp des conservateurs.
Pour sensibiliser l'opinion, Aïcha Ech-Channa écrit Miseria, un livre émouvant (publié par les éditions du Fennec) dans lequel elle relate son expérience.