Les peines alternatives au Maroc, une révolution judiciaire en émission-débat :
L’émission introduit le sujet des peines alternatives, en soulignant leur importance dans le contexte actuel. Ces mesures concernent principalement les peines de prison de cinq ans ou moins et excluent les crimes graves tels que le terrorisme, la corruption ou le blanchiment d’argent. L’objectif est double : désengorger les prisons marocaines tout en offrant des solutions plus adaptées à certains délits mineurs.
Parmi les alternatives proposées, les amendes journalières soulèvent des questions sur l’équité. Ces amendes, variant entre 100 et 2 000 dirhams selon la gravité du crime, sont calculées en tenant compte des circonstances personnelles et sociales des accusés. Cependant, une critique majeure persiste : ces mesures profitent-elles uniquement aux plus aisés, laissant les plus démunis derrière les barreaux ?
L’émission met également en lumière les bénéfices économiques des peines alternatives. Plutôt que de supporter le coût élevé de l’incarcération, l’État pourrait générer des revenus grâce aux amendes. De plus, ces mesures permettraient aux condamnés de rester actifs dans la société, réduisant ainsi les impacts sociaux négatifs liés à l’emprisonnement.
Le Maroc se distingue comme un des premiers pays de la région à adopter une telle réforme. En s’inspirant de modèles internationaux, le Royaume cherche à moderniser son système judiciaire tout en répondant aux attentes de justice et d’équité des citoyens.
Parmi les alternatives proposées, les amendes journalières soulèvent des questions sur l’équité. Ces amendes, variant entre 100 et 2 000 dirhams selon la gravité du crime, sont calculées en tenant compte des circonstances personnelles et sociales des accusés. Cependant, une critique majeure persiste : ces mesures profitent-elles uniquement aux plus aisés, laissant les plus démunis derrière les barreaux ?
L’émission met également en lumière les bénéfices économiques des peines alternatives. Plutôt que de supporter le coût élevé de l’incarcération, l’État pourrait générer des revenus grâce aux amendes. De plus, ces mesures permettraient aux condamnés de rester actifs dans la société, réduisant ainsi les impacts sociaux négatifs liés à l’emprisonnement.
Le Maroc se distingue comme un des premiers pays de la région à adopter une telle réforme. En s’inspirant de modèles internationaux, le Royaume cherche à moderniser son système judiciaire tout en répondant aux attentes de justice et d’équité des citoyens.