Poème en musique du Dr Anwar CHERKAOUI
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème du Dr Anwar CHERKAOUI
Abdelmaksoud s’en est allé, serviteur du Celui qui est Loué
Abdelmaksoud s'en est allé,
En ce triste jour d’octobre, une lumière s'est éteinte,
Son regard, son art, le Maroc en deuil,
Nous pleurons cet homme, un témoin du Royaume.
Ses clichés, des fragments d’histoire figés,
La Marche verte, les Rois, les éclats et les ombres,
Son objectif perçait l’intimité du Palais,
Voyait l’âme de la nation, et la beauté du moment.
"Serviteur du Celui qui est Loué", tel est son nom,
Abdelmaksoud, "Serviteur du Digne de Louanges",
Un prénom où "Abdel" se fait humble devant l'éternel,
Et "Maksoud" désigne celui qui est recherché, loué, honoré.
Abdelmaksoud Shimi, frère d’Abdeljabar,
L’un écrivait, l’autre captait,
Dans la lignée de Salah Cherki, le virtuose du kanoun,
Ils sont partis, laissant des trésors dans notre cœur.
Moi, son neveu, je porte en moi ce lien,
Ce fil invisible d’amour et de souvenirs,
Entre rires d’enfants et conseils partagés,
Les regards complices et les histoires d’autrefois.
À sa famille, à ses enfants, ses proches aimants,
Nous partageons cette peine, ce vide immense,
Mais à travers ses œuvres, son âme survivra,
Son Maroc éternel, notre mémoire, et son éclat.
Repose en paix, Abdelmaksoud,
Toi qui as gravé le Maroc dans les cœurs,
Ta lumière veille encore, au-delà des ombres,
Et ton histoire s’écrira à jamais dans notre mémoire.
Abdelmaksoud s'en est allé,
En ce triste jour d’octobre, une lumière s'est éteinte,
Son regard, son art, le Maroc en deuil,
Nous pleurons cet homme, un témoin du Royaume.
Ses clichés, des fragments d’histoire figés,
La Marche verte, les Rois, les éclats et les ombres,
Son objectif perçait l’intimité du Palais,
Voyait l’âme de la nation, et la beauté du moment.
"Serviteur du Celui qui est Loué", tel est son nom,
Abdelmaksoud, "Serviteur du Digne de Louanges",
Un prénom où "Abdel" se fait humble devant l'éternel,
Et "Maksoud" désigne celui qui est recherché, loué, honoré.
Abdelmaksoud Shimi, frère d’Abdeljabar,
L’un écrivait, l’autre captait,
Dans la lignée de Salah Cherki, le virtuose du kanoun,
Ils sont partis, laissant des trésors dans notre cœur.
Moi, son neveu, je porte en moi ce lien,
Ce fil invisible d’amour et de souvenirs,
Entre rires d’enfants et conseils partagés,
Les regards complices et les histoires d’autrefois.
À sa famille, à ses enfants, ses proches aimants,
Nous partageons cette peine, ce vide immense,
Mais à travers ses œuvres, son âme survivra,
Son Maroc éternel, notre mémoire, et son éclat.
Repose en paix, Abdelmaksoud,
Toi qui as gravé le Maroc dans les cœurs,
Ta lumière veille encore, au-delà des ombres,
Et ton histoire s’écrira à jamais dans notre mémoire.
Ce poème rend hommage à Abdelmaksoud Shimi, photographe marocain récemment disparu, dont l'œil artistique a capturé l'âme du Maroc.
Ses clichés, immortalisant des moments marquants comme la Marche verte et des instants intimes au Palais, sont devenus des fragments d’histoire nationale. Portant un nom qui signifie "Serviteur du Digne de Louanges," Abdelmaksoud laisse derrière lui un héritage photographique précieux et une empreinte indélébile dans le cœur de sa famille et de son pays. Il était le frère d'Abdeljabar Shimi, écrivain, formant ensemble une lignée artistique marquée par l’influence de Salah Cherki, musicien virtuose. En tant que neveu, le narrateur se remémore les liens familiaux, les rires et les souvenirs partagés. Ce texte célèbre la mémoire d'Abdelmaksoud, dont la lumière continue d’illuminer, et dont l’œuvre perpétue son amour pour le Maroc dans la mémoire collective.