Le Prix Sharjah de la critique en arts plastiques , une référence dans le domaine de la critique d’art au niveau arabe, est décerné par la Direction des affaires culturelles de Sharjah, et met en lumière l’importance de l’analyse critique dans l’art contemporain et l’histoire de l’orientalisme. Abdellah Cheikh s’est ainsi distingué par une approche novatrice qui souligne non seulement les aspects civilisationnels, mais aussi les dynamiques esthétiques.
La victoire de Cheikh témoigne de la montée en puissance de la critique artistique marocaine sur la scène internationale, et elle place le Maroc parmi les voix influentes du monde arabe dans l’analyse des représentations culturelles.
Le prix a également récompensé d’autres chercheurs arabes, notamment Atef Saâd, en seconde place, chercheur égyptien, pour sa contribution portant sur les représentations équestres en Égypte au 19ᵉ siècle. Cette diversité de sujets illustre la richesse de l’art orientaliste, qui a souvent exploré les paysages, les scènes de vie, et les coutumes arabes à travers une vision parfois idéalisée, souvent chargée de clichés.
Le secrétaire général du prix, Muhammad Ibrahim Al Qasir, a souligné l’impact de cette distinction, soutenue par le gouverneur de Sharjah, Sheikh Sultan bin Muhammad Al-Qasimi. Selon lui, le prix Sharjah constitue une première dans le monde arabe, en promouvant une "culture de critique spécialisée" qui pousse les chercheurs à approfondir leur réflexion autour des enjeux esthétiques et civilisationnels. Ce prix renforce également la scène artistique arabe en rendant hommage aux travaux qui révèlent les nuances et les subtilités de l’orientalisme.
La victoire de Cheikh, entouré de chercheurs venus d’Égypte, des Émirats Arabes Unis, d’Irak, de Tunisie, d’Algérie, du Liban, de Jordanie et de Syrie, reflète une compétition intense qui valorise l’échange intellectuel et artistique au sein de la région MENA. Elle souligne aussi la vitalité de la critique artistique dans le monde arabe, qui n’est plus limitée à la simple analyse des œuvres, mais s’intéresse aussi aux influences culturelles et historiques qui ont façonné la vision de l’Orient.
La victoire de Cheikh témoigne de la montée en puissance de la critique artistique marocaine sur la scène internationale, et elle place le Maroc parmi les voix influentes du monde arabe dans l’analyse des représentations culturelles.
Le prix a également récompensé d’autres chercheurs arabes, notamment Atef Saâd, en seconde place, chercheur égyptien, pour sa contribution portant sur les représentations équestres en Égypte au 19ᵉ siècle. Cette diversité de sujets illustre la richesse de l’art orientaliste, qui a souvent exploré les paysages, les scènes de vie, et les coutumes arabes à travers une vision parfois idéalisée, souvent chargée de clichés.
Le secrétaire général du prix, Muhammad Ibrahim Al Qasir, a souligné l’impact de cette distinction, soutenue par le gouverneur de Sharjah, Sheikh Sultan bin Muhammad Al-Qasimi. Selon lui, le prix Sharjah constitue une première dans le monde arabe, en promouvant une "culture de critique spécialisée" qui pousse les chercheurs à approfondir leur réflexion autour des enjeux esthétiques et civilisationnels. Ce prix renforce également la scène artistique arabe en rendant hommage aux travaux qui révèlent les nuances et les subtilités de l’orientalisme.
La victoire de Cheikh, entouré de chercheurs venus d’Égypte, des Émirats Arabes Unis, d’Irak, de Tunisie, d’Algérie, du Liban, de Jordanie et de Syrie, reflète une compétition intense qui valorise l’échange intellectuel et artistique au sein de la région MENA. Elle souligne aussi la vitalité de la critique artistique dans le monde arabe, qui n’est plus limitée à la simple analyse des œuvres, mais s’intéresse aussi aux influences culturelles et historiques qui ont façonné la vision de l’Orient.