ANIMA Investment Network, qui réunit 20 pays, est une plateforme au service de la coopération économique entre l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. Elle développe et met en œuvre des initiatives pour bâtir des environnements de l’investissement et de l’entreprise au service d’une économie attractive, durable et inclusive.
Organisé en réseau, ANIMA réunit 70 organisations membres et plus de 400 experts et partenaires mobilisables.
Basée à Marseille, France, ANIMA une expertise en matière de développement et de coopération économique, de promotion de l’investissement et de pilotage d’impact, de marketing territorial, de développement de l’innovation et de mobilisation des ressources des talents expatriées.
Quant à THE NEXT SOCIETY, c'est une communauté d’acteurs du changement engagés dans l’innovation et le développement économique. Elle regroupe un vaste réseau de plus de 300 organisations d’affaires, d’innovation, de recherche et d’investissement, 2 500 PME et entrepreneurs internationaux venant de 30 pays.
THE NEXT SOCIETY cible des actions tangibles telles que : Atténuer le changement climatique, lutter contre les déséquilibres sociaux et territoriaux, accompagner la montée en gamme technologique, créer les emplois de demain...
En 2017, elle a initié un plan d'action, cofinancé par l'Union européenne à hauteur de 90% pour un montant global de 7,8 millions d'euros.
Le plan d’action 2017-2021 agit à plusieurs niveaux : améliorer les cadres réglementaires, favoriser le succès des start-ups, promouvoir et internationaliser les clusters, accompagner le transfert technologique vers l’entreprise.
Bilan de quatre ans
Après quatre ans de collaboration, son impact est grand. Il faut souligner que la moitié des 410 entreprises accompagnées en Algérie, Egypte, Jordanie, Liban, Maroc, Palestine et Tunisie a été fondée ou co-fondée par des femmes. 78 partenariats technologiques et contrats d'affaires ont été signés, 22 des start-ups accompagnées ont pu lever plus de 2 millions d'euros, et, 142 emplois ont déjà été créés. En plus, 50 technologies sont sorties des laboratoires sud méditerranéens pour être valorisées, dans le cadre de partenariats industriels ou de nouvelles créations d'entreprises.
50% de ces start-ups mobilisent la technologie au service du bien commun en offrant des solutions concrètes, répondant aux Objectifs de développement durable (ODD) pour ce qui est de la faim, la santé, l'éducation, l'environnement et l'énergie.
Grâce à la technologie, ces entreprises recyclent les déchets ou les vêtements, développent des solutions plus efficaces de mobilité, de gestion de l'eau ou des déchets, permettent de rationaliser l'usage des ressources naturelles, de détecter des maladies infantiles ou d'accélérer la diffusion des solutions e-learning.
Organisé en réseau, ANIMA réunit 70 organisations membres et plus de 400 experts et partenaires mobilisables.
Basée à Marseille, France, ANIMA une expertise en matière de développement et de coopération économique, de promotion de l’investissement et de pilotage d’impact, de marketing territorial, de développement de l’innovation et de mobilisation des ressources des talents expatriées.
Quant à THE NEXT SOCIETY, c'est une communauté d’acteurs du changement engagés dans l’innovation et le développement économique. Elle regroupe un vaste réseau de plus de 300 organisations d’affaires, d’innovation, de recherche et d’investissement, 2 500 PME et entrepreneurs internationaux venant de 30 pays.
THE NEXT SOCIETY cible des actions tangibles telles que : Atténuer le changement climatique, lutter contre les déséquilibres sociaux et territoriaux, accompagner la montée en gamme technologique, créer les emplois de demain...
En 2017, elle a initié un plan d'action, cofinancé par l'Union européenne à hauteur de 90% pour un montant global de 7,8 millions d'euros.
Le plan d’action 2017-2021 agit à plusieurs niveaux : améliorer les cadres réglementaires, favoriser le succès des start-ups, promouvoir et internationaliser les clusters, accompagner le transfert technologique vers l’entreprise.
Bilan de quatre ans
Après quatre ans de collaboration, son impact est grand. Il faut souligner que la moitié des 410 entreprises accompagnées en Algérie, Egypte, Jordanie, Liban, Maroc, Palestine et Tunisie a été fondée ou co-fondée par des femmes. 78 partenariats technologiques et contrats d'affaires ont été signés, 22 des start-ups accompagnées ont pu lever plus de 2 millions d'euros, et, 142 emplois ont déjà été créés. En plus, 50 technologies sont sorties des laboratoires sud méditerranéens pour être valorisées, dans le cadre de partenariats industriels ou de nouvelles créations d'entreprises.
50% de ces start-ups mobilisent la technologie au service du bien commun en offrant des solutions concrètes, répondant aux Objectifs de développement durable (ODD) pour ce qui est de la faim, la santé, l'éducation, l'environnement et l'énergie.
Grâce à la technologie, ces entreprises recyclent les déchets ou les vêtements, développent des solutions plus efficaces de mobilité, de gestion de l'eau ou des déchets, permettent de rationaliser l'usage des ressources naturelles, de détecter des maladies infantiles ou d'accélérer la diffusion des solutions e-learning.