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Par Majd EL ATOUABI
Les nouvelles qui viennent du front de la lutte contre le Covid ne sont guère réjouissantes. L’augmentation continue du nombre des contaminations se conjugue aux doutes de plus en plus avérés sur l’efficacité et l’innocuité de certains vaccins anti-Covid administrés au Maroc.
Il s’agit de Sinopharm dont des scientifiques chinois viennent de remettre en cause l’efficacité, mais surtout d’AstraZeneca qui serait à l’origine d’une nouvelle maladie mortelle qui a motivé l’arrêt de son utilisation au Danemark et bientôt dans d’autres pays.
En parallèle, la France où le Covid a entraîné le décès de 100.000 personnes semble se préparer avec force hésitations à la sortie d’un confinement intenable éternellement, tandis que le Royaume-Uni a choisi de rouvrir les vannes de la vie festive dans une tentative périlleuse de retour à la normalité et à la traditionnelle jovialité british. Au Maroc où des millions de concitoyens cuvent leur harira à l’ombre d’un couvre-feu strict qui ravive dans les esprits les affres du confinement du précédent Ramadan, de telles nouvelles ne peuvent qu’accentuer le sentiment d’oppression où nous sommes plongés depuis plus d’un an.
L’espoir d’un retour à la normalité pendant l’actuel Ramadan, miroité par le ministre de la Santé Khalid Aït Taleb en début d’année, s’est non seulement éloigné et évaporé, mais il s’apparente plus aujourd’hui à un rêve farfelu et hors d’atteinte.
Dans cette ambiance anxiogène aux allures d’apnée, une seule question taraude les gens : quand allons-nous pouvoir retrouver une vie normale? Et la vie normale, c’est ce temps pas si lointain où l’on pouvait voyager dans le monde et sillonner le Maroc de long en large sans autorisations, ni masques, ni barrages; festoyer et se marier normalement, avec ou sans tambours battants; embrasser et enlacer ses semblables comme si de rien n’était … Ainsi que toutes ces petites et grandes choses qui donnaient du sens à nos vies, sans même qu’on s’en rende compte.
Les nouvelles qui viennent du front de la lutte contre le Covid ne sont guère réjouissantes. L’augmentation continue du nombre des contaminations se conjugue aux doutes de plus en plus avérés sur l’efficacité et l’innocuité de certains vaccins anti-Covid administrés au Maroc.
Il s’agit de Sinopharm dont des scientifiques chinois viennent de remettre en cause l’efficacité, mais surtout d’AstraZeneca qui serait à l’origine d’une nouvelle maladie mortelle qui a motivé l’arrêt de son utilisation au Danemark et bientôt dans d’autres pays.
En parallèle, la France où le Covid a entraîné le décès de 100.000 personnes semble se préparer avec force hésitations à la sortie d’un confinement intenable éternellement, tandis que le Royaume-Uni a choisi de rouvrir les vannes de la vie festive dans une tentative périlleuse de retour à la normalité et à la traditionnelle jovialité british. Au Maroc où des millions de concitoyens cuvent leur harira à l’ombre d’un couvre-feu strict qui ravive dans les esprits les affres du confinement du précédent Ramadan, de telles nouvelles ne peuvent qu’accentuer le sentiment d’oppression où nous sommes plongés depuis plus d’un an.
L’espoir d’un retour à la normalité pendant l’actuel Ramadan, miroité par le ministre de la Santé Khalid Aït Taleb en début d’année, s’est non seulement éloigné et évaporé, mais il s’apparente plus aujourd’hui à un rêve farfelu et hors d’atteinte.
Dans cette ambiance anxiogène aux allures d’apnée, une seule question taraude les gens : quand allons-nous pouvoir retrouver une vie normale? Et la vie normale, c’est ce temps pas si lointain où l’on pouvait voyager dans le monde et sillonner le Maroc de long en large sans autorisations, ni masques, ni barrages; festoyer et se marier normalement, avec ou sans tambours battants; embrasser et enlacer ses semblables comme si de rien n’était … Ainsi que toutes ces petites et grandes choses qui donnaient du sens à nos vies, sans même qu’on s’en rende compte.
Majd EL ATOUABI