En représentant la délégation marocaine lors de la 68ème session de la Commission de la condition de la femme (CSW68), Mme Hayar a mis en avant que le Maroc, sous la direction éclairée de Sa Majesté le Roi, accorde une attention particulière au renforcement des droits des femmes.
La ministre a fait savoir qu'en 2023, Sa Majesté le Roi a initié la révision du Code de la famille, confiant la supervision de cette réforme significative à des institutions judiciaires, juridiques, religieuses et gouvernementales.
La ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Mme Aawatif Hayar, représentant la délégation marocaine à la 68e session de la Commission de la condition de la femme (CSW68) à New York, a mis en lumière les initiatives entreprises par le Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour promouvoir les droits des femmes.
Elle a souligné que le Maroc avait lancé en 2023 le processus de révision du Code de la famille, confiant la supervision de cette réforme à diverses institutions judiciaires, juridiques, religieuses et gouvernementales. Cette démarche, menée de manière collective et participative, intègre les contributions de la société civile et des chercheurs, dans le but de renforcer l'équilibre familial en accord avec la Constitution et les conventions internationales ratifiées par le Maroc.
Mme Hayar a également évoqué le projet de généralisation de la protection sociale initié par Sa Majesté le Roi, visant notamment à étendre l'assurance maladie obligatoire, à réduire la pauvreté et les disparités sociales, et à soutenir le pouvoir d'achat des familles, notamment celles dirigées par des femmes. Elle a souligné que tous les Marocains, y compris les plus démunis, bénéficient désormais de la couverture médicale, et a rappelé le lancement en décembre 2023 du programme d'aide sociale directe visant à améliorer les conditions de vie des familles vulnérables.
Par ailleurs, la ministre a mis en avant la mise en place par le Maroc, conformément à sa Constitution de 2011, du Comité national pour l'égalité des genres et la promotion de la femme. Ce comité a élaboré la stratégie pour l'égalité et la parité à l’horizon 2035 et le plan gouvernemental de l’égalité 2023-2026, incluant des programmes dotés d'indicateurs d'efficacité et d'un budget annuel spécifique, ainsi qu'un mécanisme de suivi numérique.
Elle a également mentionné les efforts déployés par le gouvernement marocain pour renforcer l'accès des femmes aux financements, avec des initiatives telles que "Forsa", "Intilaka" et "GISSR" dédiées aux femmes en situation difficile. En outre, le Maroc est reconnu pour son engagement en faveur de la budgétisation sensible au genre et de l'inclusion financière, avec l'adoption d'un budget sensible au genre depuis 2002 et la création en 2013 du Centre d'excellence pour la budgétisation sensible au genre.
Mme Hayar a également souligné l'adoption par le Maroc de mesures visant à promouvoir la participation des femmes dans le secteur financier, notamment avec la création en 2019 de la Stratégie nationale d'inclusion financière et l'adoption en 2021 de la loi sur les coopératives soutenant les projets portés par les femmes. De plus, le Maroc a établi des quotas pour la représentation des femmes dans les conseils d'administration des entreprises cotées en bourse, avec un minimum de 30% à atteindre d'ici 2024 et 40% d'ici 2027.
Enfin, Mme Hayar a réaffirmé l'engagement du Maroc à soutenir les femmes et les filles palestiniennes, conformément au leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI en tant que Président du Comité Al-Qods. La session de la Commission de la condition de la femme, se déroulant du 11 au 22 mars à l'ONU, est placée sous le thème "Accélérer la réalisation de l'égalité entre les hommes et les femmes et l'autonomisation de toutes les femmes et les filles en s'attaquant à la pauvreté et en renforçant les institutions et le financement dans une perspective d'égalité entre les hommes et les femmes". Des représentants des États membres, des entités des Nations Unies et des organisations non gouvernementales du monde entier participent à cette session, qui vise à examiner les mesures et les investissements pour éliminer la pauvreté des femmes et promouvoir l'égalité entre les sexes.
Elle a rappelé, dans ce cadre, un passage du discours du Trône de 2022 dans lequel le Souverain affirme “Notre ambition est de poursuivre l’édification d’un Maroc avancé et fort de sa dignité. Aussi est-il indispensable que tous les Marocains, hommes et femmes, prennent une part active à la dynamique de développement. C’est pourquoi Nous insistons une fois encore sur la nécessité que la femme marocaine apporte son plein concours dans tous les domaines”.
La ministre a fait savoir qu'en 2023, Sa Majesté le Roi a initié la révision du Code de la famille, confiant la supervision de cette réforme significative à des institutions judiciaires, juridiques, religieuses et gouvernementales.
La ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Mme Aawatif Hayar, représentant la délégation marocaine à la 68e session de la Commission de la condition de la femme (CSW68) à New York, a mis en lumière les initiatives entreprises par le Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour promouvoir les droits des femmes.
Elle a souligné que le Maroc avait lancé en 2023 le processus de révision du Code de la famille, confiant la supervision de cette réforme à diverses institutions judiciaires, juridiques, religieuses et gouvernementales. Cette démarche, menée de manière collective et participative, intègre les contributions de la société civile et des chercheurs, dans le but de renforcer l'équilibre familial en accord avec la Constitution et les conventions internationales ratifiées par le Maroc.
Mme Hayar a également évoqué le projet de généralisation de la protection sociale initié par Sa Majesté le Roi, visant notamment à étendre l'assurance maladie obligatoire, à réduire la pauvreté et les disparités sociales, et à soutenir le pouvoir d'achat des familles, notamment celles dirigées par des femmes. Elle a souligné que tous les Marocains, y compris les plus démunis, bénéficient désormais de la couverture médicale, et a rappelé le lancement en décembre 2023 du programme d'aide sociale directe visant à améliorer les conditions de vie des familles vulnérables.
Par ailleurs, la ministre a mis en avant la mise en place par le Maroc, conformément à sa Constitution de 2011, du Comité national pour l'égalité des genres et la promotion de la femme. Ce comité a élaboré la stratégie pour l'égalité et la parité à l’horizon 2035 et le plan gouvernemental de l’égalité 2023-2026, incluant des programmes dotés d'indicateurs d'efficacité et d'un budget annuel spécifique, ainsi qu'un mécanisme de suivi numérique.
Elle a également mentionné les efforts déployés par le gouvernement marocain pour renforcer l'accès des femmes aux financements, avec des initiatives telles que "Forsa", "Intilaka" et "GISSR" dédiées aux femmes en situation difficile. En outre, le Maroc est reconnu pour son engagement en faveur de la budgétisation sensible au genre et de l'inclusion financière, avec l'adoption d'un budget sensible au genre depuis 2002 et la création en 2013 du Centre d'excellence pour la budgétisation sensible au genre.
Mme Hayar a également souligné l'adoption par le Maroc de mesures visant à promouvoir la participation des femmes dans le secteur financier, notamment avec la création en 2019 de la Stratégie nationale d'inclusion financière et l'adoption en 2021 de la loi sur les coopératives soutenant les projets portés par les femmes. De plus, le Maroc a établi des quotas pour la représentation des femmes dans les conseils d'administration des entreprises cotées en bourse, avec un minimum de 30% à atteindre d'ici 2024 et 40% d'ici 2027.
Enfin, Mme Hayar a réaffirmé l'engagement du Maroc à soutenir les femmes et les filles palestiniennes, conformément au leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI en tant que Président du Comité Al-Qods. La session de la Commission de la condition de la femme, se déroulant du 11 au 22 mars à l'ONU, est placée sous le thème "Accélérer la réalisation de l'égalité entre les hommes et les femmes et l'autonomisation de toutes les femmes et les filles en s'attaquant à la pauvreté et en renforçant les institutions et le financement dans une perspective d'égalité entre les hommes et les femmes". Des représentants des États membres, des entités des Nations Unies et des organisations non gouvernementales du monde entier participent à cette session, qui vise à examiner les mesures et les investissements pour éliminer la pauvreté des femmes et promouvoir l'égalité entre les sexes.