À 34 ans, cette hôtesse de l'air originaire de la Martinique est devenue la première Miss France trentenaire, brisant ainsi les codes d’un concours longtemps réservé aux jeunes femmes de moins de 24 ans. Ce sacre symbolise une évolution majeure dans les critères de sélection et reflète une société en quête de diversité et d’inclusion.
Un parcours atypique et inspirant
Le chemin d’Angélique jusqu’à la couronne n’a pas été sans embûches. Née dans le Val-d’Oise mais profondément attachée à ses racines martiniquaises, elle a connu une enfance marquée par des complexes. Moqueries sur sa taille et ses dents, appareil dentaire, difficultés à trouver des vêtements adaptés… La jeune femme confie avoir longtemps douté de sa beauté. Pourtant, en 2011, elle s’était déjà distinguée en tant que première dauphine au concours Miss Martinique. Mais à l’époque, les règles strictes du concours Miss France l’empêchaient d’aller plus loin.
Lorsque les critères d’âge ont été élargis, Angélique a vu une seconde chance se présenter. Animée par une détermination sans faille, elle a décidé de tenter à nouveau sa chance. Et cette fois-ci, son authenticité et son énergie communicative ont conquis le jury et le public. "Je ne suis pas définie par mon âge ou mes cheveux courts", a-t-elle affirmé après son élection. "Ce qui me caractérise, c’est ma joie de vivre et ma capacité à toujours sourire."
Un engagement fort contre le cancer du sein
Angélique Angarni-Filopon n’est pas seulement une reine de beauté, elle est aussi une femme engagée. Lors de sa campagne, elle a mis en lumière son combat contre le cancer du sein, une cause qui lui tient particulièrement à cœur puisque sa mère en est atteinte. Elle souhaite utiliser son titre pour sensibiliser davantage à cette maladie et soutenir les femmes touchées. "Le maquillage et la coiffure m’ont aidée à prendre confiance en moi. Cela peut aussi aider ces femmes à se sentir belles après la maladie", a-t-elle déclaré.
Avec cette élection historique, Miss France 2025 ouvre un nouveau chapitre où diversité et inclusion prennent toute leur place. Les dauphines qui l’accompagnent, Miss Nord-Pas-de-Calais, Miss Corse, Miss Guadeloupe et Miss Côte d’Azur, incarnent elles aussi cette richesse culturelle et générationnelle.
Un parcours atypique et inspirant
Le chemin d’Angélique jusqu’à la couronne n’a pas été sans embûches. Née dans le Val-d’Oise mais profondément attachée à ses racines martiniquaises, elle a connu une enfance marquée par des complexes. Moqueries sur sa taille et ses dents, appareil dentaire, difficultés à trouver des vêtements adaptés… La jeune femme confie avoir longtemps douté de sa beauté. Pourtant, en 2011, elle s’était déjà distinguée en tant que première dauphine au concours Miss Martinique. Mais à l’époque, les règles strictes du concours Miss France l’empêchaient d’aller plus loin.
Lorsque les critères d’âge ont été élargis, Angélique a vu une seconde chance se présenter. Animée par une détermination sans faille, elle a décidé de tenter à nouveau sa chance. Et cette fois-ci, son authenticité et son énergie communicative ont conquis le jury et le public. "Je ne suis pas définie par mon âge ou mes cheveux courts", a-t-elle affirmé après son élection. "Ce qui me caractérise, c’est ma joie de vivre et ma capacité à toujours sourire."
Un engagement fort contre le cancer du sein
Angélique Angarni-Filopon n’est pas seulement une reine de beauté, elle est aussi une femme engagée. Lors de sa campagne, elle a mis en lumière son combat contre le cancer du sein, une cause qui lui tient particulièrement à cœur puisque sa mère en est atteinte. Elle souhaite utiliser son titre pour sensibiliser davantage à cette maladie et soutenir les femmes touchées. "Le maquillage et la coiffure m’ont aidée à prendre confiance en moi. Cela peut aussi aider ces femmes à se sentir belles après la maladie", a-t-elle déclaré.
Avec cette élection historique, Miss France 2025 ouvre un nouveau chapitre où diversité et inclusion prennent toute leur place. Les dauphines qui l’accompagnent, Miss Nord-Pas-de-Calais, Miss Corse, Miss Guadeloupe et Miss Côte d’Azur, incarnent elles aussi cette richesse culturelle et générationnelle.