Une étude récente publiée par l’American Journal of Economics and Business Innovations (AJEBI) met en évidence une problématique majeure concernant le marché du travail informel au Maroc. Selon les chiffres présentés, près de 95 % des travailleurs opérant dans ce secteur n'ont pas de diplôme. Ce constat souligne la relation entre le manque d'éducation formelle et la prédominance de l'emploi précaire. Les travailleurs informels, souvent privés des avantages sociaux tels que la sécurité sociale, l'assurance maladie ou encore une stabilité contractuelle, se retrouvent dans une situation de vulnérabilité accrue.
Le niveau d'éducation joue ici un rôle crucial : sans qualifications reconnues, ces individus peinent à s'intégrer dans le marché du travail formel, souvent considéré comme plus stable et mieux rémunéré. Cette situation, bien qu'elle permette à certains de subvenir à leurs besoins immédiats, montre les limites d’un système économique où une grande partie de la population active évolue en dehors du cadre légal. Cela pose par ailleurs des défis à l'échelle nationale, notamment en termes de développement économique, de contribution fiscale et de lutte contre la pauvreté.
Pour remédier à cette problématique, plusieurs pistes doivent être explorées, parmi lesquelles l'amélioration de l'accès à une éducation de qualité, la promotion de programmes de formation professionnelle adaptés aux besoins du marché et l'encouragement à intégrer le secteur formel via des politiques incitatives. Face à un tel constat, il devient crucial pour les décideurs de mettre en œuvre des stratégies ciblées pour réduire la précarité liée au travail informel et offrir des perspectives d'avenir solides à cette population souvent marginalisée.
Le niveau d'éducation joue ici un rôle crucial : sans qualifications reconnues, ces individus peinent à s'intégrer dans le marché du travail formel, souvent considéré comme plus stable et mieux rémunéré. Cette situation, bien qu'elle permette à certains de subvenir à leurs besoins immédiats, montre les limites d’un système économique où une grande partie de la population active évolue en dehors du cadre légal. Cela pose par ailleurs des défis à l'échelle nationale, notamment en termes de développement économique, de contribution fiscale et de lutte contre la pauvreté.
Pour remédier à cette problématique, plusieurs pistes doivent être explorées, parmi lesquelles l'amélioration de l'accès à une éducation de qualité, la promotion de programmes de formation professionnelle adaptés aux besoins du marché et l'encouragement à intégrer le secteur formel via des politiques incitatives. Face à un tel constat, il devient crucial pour les décideurs de mettre en œuvre des stratégies ciblées pour réduire la précarité liée au travail informel et offrir des perspectives d'avenir solides à cette population souvent marginalisée.