Les chiffres sont glaçants. Selon le ministère de la Santé de Gaza, près de 60 % des victimes des bombardements israéliens sont des enfants. Le carnage perpétré par les forces israéliennes ne laisse aucun doute sur la stratégie de terreur déployée contre les populations civiles de Gaza. Les frappes, qui visent délibérément les infrastructures vitales, ont détruit une grande partie du système de santé déjà fragile, empêchant les soins d'urgence aux blessés, dont beaucoup sont des enfants.

Le siège imposé à Gaza par l'entité sioniste a empêché l'entrée de matériel médical et de personnel humanitaire. Les hôpitaux sont débordés, et les médecins, qui manquent cruellement de ressources, se retrouvent impuissants face à l'afflux constant de blessés. Le ministère de la Santé dénonce une volonté délibérée de détruire la capacité de Gaza à soigner ses citoyens, en particulier les plus jeunes.

Depuis le début des frappes, plus de 41 000 personnes ont été tuées, et les enfants représentent la majorité des victimes. Ce chiffre effrayant témoigne de l’ampleur du désastre humanitaire qui se déroule sous les yeux du monde. Pourtant, la communauté internationale semble une fois de plus fermer les yeux sur les atrocités commises par Israël, préférant s'abriter derrière des discours de "légitime défense".

L’offensive israélienne ne se limite pas aux cibles militaires, elle vise également les infrastructures civiles : écoles, hôpitaux, habitations. Cette stratégie, condamnée par de nombreuses organisations de défense des droits de l'homme, relève d'une politique de terreur destinée à briser la résistance des Palestiniens en ciblant les plus vulnérables : les enfants et les femmes. Les survivants, eux, sont privés de soins, alors que les équipements médicaux sont systématiquement détruits.

Le monde ne peut plus rester silencieux face à cette tragédie. Gaza, asphyxiée par un blocus inhumain et bombardée sans relâche, appelle à l’aide. Les enfants de Gaza, innocentes victimes d'une guerre brutale, méritent que justice leur soit rendue. Il est impératif que la communauté internationale agisse pour stopper immédiatement cette barbarie.