L'une des composantes essentielles du soft power marocain est sa diplomatie spirituelle. Le Maroc, sous SM Mohammed VI, a promu un islam modéré et tolérant, incarné par les «Zaouias» Tijani et Qadiri, qui ont toujours eu un attachement particulier au royaume et à ses monarques en tant que «commandeurs des croyants». En 2015, la création de la Fondation Mohammed VI des Oulémas Africains a institutionnalisé cette dimension spirituelle, visant à préserver les constantes religieuses et spirituelles communes entre le Maroc et les pays africains
Cette diplomatie spirituelle s'est renforcée par des initiatives culturelles, telles que l'organisation de festivals et d'événements mettant en valeur le patrimoine marocain. Par exemple, le festival annuel de São Tiago au Brésil, qui célèbre l'histoire commune entre le Portugal et le Maroc, est un témoignage de l'influence culturelle marocaine à l'international
Le Maroc a également utilisé sa politique migratoire comme un outil de soft power. Depuis 2014, le Royaume a régularisé 100 000 migrants, légitimant et institutionnalisant l'immigration. Cette politique a été reconnue par les Nations Unies comme un modèle pour le continent africain. En 2017, Mohammed VI a été désigné Leader de l'Union Africaine chargé de la question migratoire, renforçant ainsi la position diplomatique du Maroc
Le retour du Maroc à l'Union Africaine en 2017, après 32 ans d'absence, a été une étape marquante de la diplomatie marocaine sous Mohammed VI. Ce retour, soutenu par une majorité écrasante des pays africains, a permis au Maroc de renforcer ses liens avec le continent et de promouvoir une coopération sud-sud exemplaire. Le Royaume a signé un millier de conventions avec divers pays africains, couvrant des domaines allant de l'agriculture à la sécurité alimentaire, en passant par les infrastructures et la finance
Sous Mohammed VI, le Maroc a diversifié ses partenariats économiques et politiques. En plus de ses relations traditionnelles avec l'Europe, le Royaume a renforcé ses liens avec des puissances émergentes comme la Chine, l'Inde et la Russie. Ces partenariats ont été consolidés par des visites royales et la signature d'accords de coopération stratégique, augmentant ainsi les échanges commerciaux et les investissements bilatéraux
De plus, le Maroc a également tourné son attention vers l'Amérique Latine, notamment avec le Brésil, en développant des relations basées sur des intérêts communs tels que les énergies renouvelables et l'agriculture
Le Maroc a su capitaliser sur sa stabilité politique et son leadership régional pour s'imposer dans les organisations internationales. En étant un acteur clé dans des commissions de l'Union Africaine, comme celle de la Paix et de la Sécurité, le Maroc a pu défendre ses intérêts et ceux du continent de manière efficace. La position de SM Mohammed VI en tant que président du Comité Al-Qods a également renforcé le rôle du Maroc dans les discussions concernant la paix au Moyen-Orient
En un quart de siècle, le soft power marocain sous le règne de SM Mohammed VI a transformé le pays en un leader régional influent, capable de naviguer habilement entre tradition et modernité. Par sa diplomatie spirituelle, sa politique migratoire humanitaire, son retour stratégique à l'Union Africaine, la diversification de ses partenariats internationaux et son leadership dans les organisations internationales, le Maroc a su utiliser des outils de soft power pour renforcer sa position sur la scène mondiale. Cette stratégie, basée sur le dialogue, la coopération et la promotion des valeurs culturelles et religieuses, continue de porter ses fruits et de tracer un avenir prometteur pour le Royaume.
Cette diplomatie spirituelle s'est renforcée par des initiatives culturelles, telles que l'organisation de festivals et d'événements mettant en valeur le patrimoine marocain. Par exemple, le festival annuel de São Tiago au Brésil, qui célèbre l'histoire commune entre le Portugal et le Maroc, est un témoignage de l'influence culturelle marocaine à l'international
Le Maroc a également utilisé sa politique migratoire comme un outil de soft power. Depuis 2014, le Royaume a régularisé 100 000 migrants, légitimant et institutionnalisant l'immigration. Cette politique a été reconnue par les Nations Unies comme un modèle pour le continent africain. En 2017, Mohammed VI a été désigné Leader de l'Union Africaine chargé de la question migratoire, renforçant ainsi la position diplomatique du Maroc
Le retour du Maroc à l'Union Africaine en 2017, après 32 ans d'absence, a été une étape marquante de la diplomatie marocaine sous Mohammed VI. Ce retour, soutenu par une majorité écrasante des pays africains, a permis au Maroc de renforcer ses liens avec le continent et de promouvoir une coopération sud-sud exemplaire. Le Royaume a signé un millier de conventions avec divers pays africains, couvrant des domaines allant de l'agriculture à la sécurité alimentaire, en passant par les infrastructures et la finance
Sous Mohammed VI, le Maroc a diversifié ses partenariats économiques et politiques. En plus de ses relations traditionnelles avec l'Europe, le Royaume a renforcé ses liens avec des puissances émergentes comme la Chine, l'Inde et la Russie. Ces partenariats ont été consolidés par des visites royales et la signature d'accords de coopération stratégique, augmentant ainsi les échanges commerciaux et les investissements bilatéraux
De plus, le Maroc a également tourné son attention vers l'Amérique Latine, notamment avec le Brésil, en développant des relations basées sur des intérêts communs tels que les énergies renouvelables et l'agriculture
Le Maroc a su capitaliser sur sa stabilité politique et son leadership régional pour s'imposer dans les organisations internationales. En étant un acteur clé dans des commissions de l'Union Africaine, comme celle de la Paix et de la Sécurité, le Maroc a pu défendre ses intérêts et ceux du continent de manière efficace. La position de SM Mohammed VI en tant que président du Comité Al-Qods a également renforcé le rôle du Maroc dans les discussions concernant la paix au Moyen-Orient
En un quart de siècle, le soft power marocain sous le règne de SM Mohammed VI a transformé le pays en un leader régional influent, capable de naviguer habilement entre tradition et modernité. Par sa diplomatie spirituelle, sa politique migratoire humanitaire, son retour stratégique à l'Union Africaine, la diversification de ses partenariats internationaux et son leadership dans les organisations internationales, le Maroc a su utiliser des outils de soft power pour renforcer sa position sur la scène mondiale. Cette stratégie, basée sur le dialogue, la coopération et la promotion des valeurs culturelles et religieuses, continue de porter ses fruits et de tracer un avenir prometteur pour le Royaume.