Siddiq Maaino, Journaliste et écrivain :
Jeudi soir, le roi Hassan II a appelé l’un de ses conseillers puis l’un des responsables du protocole royal et leur a dit qu’il avait décidé de faire une pause pour les trois prochains jours (vendredi, samedi et dimanche) et leur a demandé d’annuler tous ses engagements et nominations.
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Prince héritier du Maroc à l’époque dans le cortège de réception du célèbre coureur olympique Saïd Aouita
La même nuit, le roi Hassan II a autorisé ses aides et aides à quitter sa résidence de Skhirat, dans la banlieue de Rabat, où il passait les vacances d’été. Cette nuit-là, la santé du roi était perturbée et souffrait du mal du lit, alors il décida, après avoir consulté ses médecins, de se reposer. Entre-temps, le prince héritier était au courant du cours des événements, les suivant de près, interrogeant les médecins et appelant à la santé et à la sécurité de son père.
Dans la salle de réveil
À l’hôpital Ibn Sina, l’état de santé du roi se détériorera et les médecins se précipiteront pour l’introduire dans la salle de réveil médical, que le roi Hassan II avait précédemment ordonné de construire au quatrième étage, dédié aux maladies cardiaques après avoir découvert qu’il n’y avait pas d’hôpital pour ces maladies. Le roi Hassan II continua d’équiper cet hôpital spécialisé et contribua même à l’acquisition d’équipements de pointe pour l’examen et le traitement. Depuis plusieurs années, des milliers de patients bénéficient de cette initiative royale. L’un des secrets du destin est que le roi Hassan II entrera également dans cet étage dans une atmosphère de tension et d’anticipation.
Le prince héritier, accompagné de son frère le prince Moulay Rachid, se tenait devant la salle de réveil. Ils étaient tristes, les yeux remplis de larmes. Le prince héritier était en contact permanent avec les médecins, l’informant régulièrement des développements médicaux et des efforts pour traiter la crise cardiaque. Sidi Mohamed portait son téléphone portable et répondait aux questions de sa mère et de ses sœurs princesses... Il répondit d’une voix basse et calme, leur racontant ce qu’il avait appris.
À ce moment-là, le prince a ressenti la gravité de la situation, le poids de la responsabilité, et s’est préparé intellectuellement et psychologiquement à affronter la situation avec la sagesse et la prévoyance qu’elle exige. À l’âge de trente-six ans, il savait qu’on lui confiait le sort d’une honorable famille qui avait régné pendant trois siècles et demi, et il avait été choisi par le destin pour prendre la responsabilité de la continuation de l’une des plus anciennes monarchies du monde, douze siècles, d’Idris Ier à Hassan II. À ce moment critique, l’émir Sidi Mohamed a dû porter le flambeau et poursuivre sa route.
Iftikhar Malak
Le public marocain n’était pas au courant de ce qui se passait au quatrième étage de l’hôpital, ni des détails de ce qui s’est passé jeudi soir, ni des médecins qui ont dû transporter le roi en salle de réveil, mais il savait que le roi Hassan II souffrait depuis longtemps, et que sa maladie n’était pas un secret entre les murs du palais. L’apparition du roi le jour de son dernier anniversaire, le 9 juillet, a suggéré qu’il était malade, car les téléspectateurs ont remarqué à la télévision qu’il avait le visage pâle, lent, avachi, acceptant les félicitations de quelques fonctionnaires avant de quitter la cour du palais. Le prince héritier était à ses côtés, se tenant à ses côtés et regrettant sa santé.
Malgré les nombreuses rumeurs, les Marocains ont été encouragés lorsqu’ils ont assisté, dans la nuit du 14 juillet, au défilé militaire de l’armée française dans les plus belles rues de Paris. Le roi était présent aux côtés du président français Jacques Chirac. Le roi Hassan II, vêtu de vêtements traditionnels, semblait heureux de voir les unités militaires marocaines ouvrir le défilé.
Les gens remarquèrent le sourire du roi alors qu’il se tenait debout dans le respect du drapeau national alors qu’il dirigeait le chœur de cuivres de la Garde royale, suivi par des unités des Forces Armées Royales. Hassan II était visiblement fier de la discipline et de l’organisation dont faisaient preuve les unités militaires marocaines traversant l’avenue de l’Élysée. Les Marocains ont également noté que dès le passage des unités marocaines, le président français s’est incliné pour féliciter le roi Hassan II pour sa présence personnelle et pour la participation harmonieuse et précise des avant-gardes marocaines.
Cette nuit-là, le sentiment général parmi les Marocains était que le roi était en bonne santé malgré les manifestations de fatigue, considérant cela comme un résultat naturel de ce qu’il fallait pour voyager, assister et rester debout pendant deux heures.
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Dans la salle de réveil
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Iftikhar Malak
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