Leur objectif ? Combler le fossé qui s'est creusé entre le gouvernement et les étudiants, ces derniers ayant maintenu un boycott ferme des examens. Cette décision intervient après l'échec cuisant d'une première médiation parlementaire en juillet, qui n'a pas su apaiser la crise, laissant sept points de divergence en suspens.
Alors que 25.000 étudiants voient leur avenir incertain, la majorité parlementaire ne ménage aucun effort, malgré les vacances, pour initier des discussions intensives avec le ministre de tutelle. Des propositions concrètes sont mises sur la table pour pousser les étudiants à lever le boycott en échange d'un retrait du plan gouvernemental controversé. Mais le temps presse, et le sort de milliers de futurs médecins repose sur ces négociations tendues.
Alors que 25.000 étudiants voient leur avenir incertain, la majorité parlementaire ne ménage aucun effort, malgré les vacances, pour initier des discussions intensives avec le ministre de tutelle. Des propositions concrètes sont mises sur la table pour pousser les étudiants à lever le boycott en échange d'un retrait du plan gouvernemental controversé. Mais le temps presse, et le sort de milliers de futurs médecins repose sur ces négociations tendues.