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Par Jamal HAJJAM
Le Maroc essuiyait encore les retombées du douloureux et socialement coûteux Plan d'Ajustement Structurel et les gouvernements successifs, aux approches incertaines étant dépourvus de vision politique, faisaient le reste. Le défunt Roi Hassan II, en fin de règne, fut par conséquent amené à nommer un gouvernement d'alternance consensuelle pour tenter, un tant soit peu, de réanimer le pays en proie à une "crise cardiaque".
C'est dans ce contexte très difficile et complexe, exception faite de la stabilité institutionnelle, que le jeune Roi Mohammed VI accédait au pouvoir suprême et prenait instantanément le taureau par les cornes.
Les attentes étaient réelles et énormes et, sortir le pays de sa léthargie pour le placer sur les rails des réformes multisectorielles nécessaires et du développement tous azimuts, n'était manifestement pas une mince affaire, loin s'en faut.
Mais le jeune Roi, visionnaire, stratège et décidé, a très vite fait valoir une politique innovante résolument tournée vers l'avenir où la modernisation institutionnelle, le solde de tout compte du lourd passif des graves violations des Droits de l'Homme, la consécration des droits de la femme, le règlement des questions identitaires qui fâchent, l'ouverture sur le monde, la diversification des partenariats stratégiques, la réforme profonde de la Constitution, ont emboîté le pas à la mobilisation rationnelle des ressources financières, humaines et matérielles, au lancement de grands chantiers de développement, au renforcement et à la réalisation d'infrastructures modernes (ports, aéroports, autoroutes, zones industrielles), à une urbanisation planifiée qui passe par l'éradication des bidonvilles et des foyers de précarité urbaine, le tout encadré par une gouvernance efficiente qui sait classer les priorités et répugne à l'improvisation et à l'approximatif.
L'effort durant ces 24 années, titanesque, a su transcender les difficultés, vaincre les entraves conjoncturelles, faire valoir une bonne résilience face aux crises mondiales de tout ordre et déjouer les hostilités étrangères gratuites et envieuses.
C'est un Maroc nouveau qui s'est progressivement fait valoir par la perspicacité d'un homme meneur d'hommes, d'un Souverain, fort de sa légitimité et de l'amour de son peuple, qui ne se laisse nullement infléchir dans son entreprise par les imprévus, encore moins par les nuisances.
Depuis l’accession du Roi Mohammed VI au trône, le Maroc a en effet connu un développement continu, au nord comme dans les province du sud, et s’est construit à tous les niveaux, marquant une évolution dans tous les domaines, ce qui est visible à l'oeil nu.
Désormais, le Maroc est hissé au rang de puissance régionale par une économie des plus dynamiques de l'Afrique. Cette réalité s'impose à tout le monde, à commencer par les détracteurs les plus féroces du Maroc.
Les réformes profondes qui ont ponctué les domaines économique et financier ont permis au Maroc de bénéficier d’une stabilité macroéconomique caractérisée par une inflation maîtrisée, des réserves de change adéquates et une politique monétaire prudente.
Le leadership du Maroc aux niveaux régional et continental en matière d'industrie automobile, d'aéronautique, de tourisme, des énergies renouvelables, d’agriculture, des services, des télécommunications et autres services informatiques (tous des fleurons de l'économie marocaine, hors phosphate), font aujourd'hui la fierté d'un peuple complice et reconnaissant, décidé à aller de l'avant derrière son Roi pour davantage de progrès et de prospérité.
Pour consolider d'abord la position du Maroc comme plateforme de projection en direction de l’Afrique où notre pays est présent par ses banques, ses entreprises de services et de bâtiment et travaux publics, sa compagnie aérienne, et pour conquérir ensuite d'autres horizons et sceller de nouveaux partenariats Win-Win avec les États et les économies des quatres coins du monde. La dynamique pour ce faire est là et elle se fait valoir à un rythme soutenu.
Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si la diplomatie économique du Royaume, partie intégrante de la vision royale pour le Maroc du 21e siècle, a eu pour résultat immédiat la consécration du Maroc comme premier investisseur en Afrique de l’ouest et second à l’échelle continentale.
Sur le front social, l'effort est permanent depuis le lancement par le Souverain, en 2005, de l'Initiative Nationale de Développement Humain, ce chantier phare. L'effort social se poursuit et gagne en intensité et en efficience par le biais d'une nouvelle politique consacrée à la généralisation de la couverture sociale au profit de tous les Marocains. C'est colossal et révolutionnaire !
L’assurance maladie et les allocations familiales sont ainsi en cours de généralisation alors qu'une assurance chômage est dans le pipe.
L'autre grand et déterminant chantier, est incontestablement celui de la politique étrangère et du renouveau de la diplomatie marocaine par lesquels le Royaume s'est indéniablement imposé comme Etat incontournable dans le concert des Nations. Le secret de ce succès implacable réside autant dans la forte personnalité et le charisme de SM Mohammed VI, que dans sa conception des relations internationales fondée sur le respect du droit international, la promotion de la paix et de la justice, la crédibilité et le respect des engagements, le pragmatisme, la pondération, la tolérance et la solidarité. Il a aussi pour secret la fermeté et l'intransigeance lorsqu'il s'agit de la défense de la marocanité du Sahara et de la préservation de l'intégrité territoriale du Maroc.
C'est ce dont le monde entier a pris note, le dossier du Sahara étant désormais le baromètre et le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international.
Les succès engrangés sur ce dossier sont autant de réconfort de la politique royale dont les fruits ne sont autres que les fortes et stratégiques alliances avec les plus grandes puissances occidentales, la coopération agissante avec les pays arabes du golf et les Etats africains, la reconnaissance de la marocanité du Sahara par les pays qui comptent au niveau international, arabe et africain.
C'est le sacre d'un travail de longue haleine qui a le grand mérite de faire hisser très haut l'étendard du Maroc et de faire du pays une authentique force de frappe vérifiable sur les plans économique, culturel et militaire.
C'est dans ce contexte très difficile et complexe, exception faite de la stabilité institutionnelle, que le jeune Roi Mohammed VI accédait au pouvoir suprême et prenait instantanément le taureau par les cornes.
Les attentes étaient réelles et énormes et, sortir le pays de sa léthargie pour le placer sur les rails des réformes multisectorielles nécessaires et du développement tous azimuts, n'était manifestement pas une mince affaire, loin s'en faut.
Mais le jeune Roi, visionnaire, stratège et décidé, a très vite fait valoir une politique innovante résolument tournée vers l'avenir où la modernisation institutionnelle, le solde de tout compte du lourd passif des graves violations des Droits de l'Homme, la consécration des droits de la femme, le règlement des questions identitaires qui fâchent, l'ouverture sur le monde, la diversification des partenariats stratégiques, la réforme profonde de la Constitution, ont emboîté le pas à la mobilisation rationnelle des ressources financières, humaines et matérielles, au lancement de grands chantiers de développement, au renforcement et à la réalisation d'infrastructures modernes (ports, aéroports, autoroutes, zones industrielles), à une urbanisation planifiée qui passe par l'éradication des bidonvilles et des foyers de précarité urbaine, le tout encadré par une gouvernance efficiente qui sait classer les priorités et répugne à l'improvisation et à l'approximatif.
L'effort durant ces 24 années, titanesque, a su transcender les difficultés, vaincre les entraves conjoncturelles, faire valoir une bonne résilience face aux crises mondiales de tout ordre et déjouer les hostilités étrangères gratuites et envieuses.
C'est un Maroc nouveau qui s'est progressivement fait valoir par la perspicacité d'un homme meneur d'hommes, d'un Souverain, fort de sa légitimité et de l'amour de son peuple, qui ne se laisse nullement infléchir dans son entreprise par les imprévus, encore moins par les nuisances.
Depuis l’accession du Roi Mohammed VI au trône, le Maroc a en effet connu un développement continu, au nord comme dans les province du sud, et s’est construit à tous les niveaux, marquant une évolution dans tous les domaines, ce qui est visible à l'oeil nu.
Désormais, le Maroc est hissé au rang de puissance régionale par une économie des plus dynamiques de l'Afrique. Cette réalité s'impose à tout le monde, à commencer par les détracteurs les plus féroces du Maroc.
Les réformes profondes qui ont ponctué les domaines économique et financier ont permis au Maroc de bénéficier d’une stabilité macroéconomique caractérisée par une inflation maîtrisée, des réserves de change adéquates et une politique monétaire prudente.
Le leadership du Maroc aux niveaux régional et continental en matière d'industrie automobile, d'aéronautique, de tourisme, des énergies renouvelables, d’agriculture, des services, des télécommunications et autres services informatiques (tous des fleurons de l'économie marocaine, hors phosphate), font aujourd'hui la fierté d'un peuple complice et reconnaissant, décidé à aller de l'avant derrière son Roi pour davantage de progrès et de prospérité.
Pour consolider d'abord la position du Maroc comme plateforme de projection en direction de l’Afrique où notre pays est présent par ses banques, ses entreprises de services et de bâtiment et travaux publics, sa compagnie aérienne, et pour conquérir ensuite d'autres horizons et sceller de nouveaux partenariats Win-Win avec les États et les économies des quatres coins du monde. La dynamique pour ce faire est là et elle se fait valoir à un rythme soutenu.
Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si la diplomatie économique du Royaume, partie intégrante de la vision royale pour le Maroc du 21e siècle, a eu pour résultat immédiat la consécration du Maroc comme premier investisseur en Afrique de l’ouest et second à l’échelle continentale.
Sur le front social, l'effort est permanent depuis le lancement par le Souverain, en 2005, de l'Initiative Nationale de Développement Humain, ce chantier phare. L'effort social se poursuit et gagne en intensité et en efficience par le biais d'une nouvelle politique consacrée à la généralisation de la couverture sociale au profit de tous les Marocains. C'est colossal et révolutionnaire !
L’assurance maladie et les allocations familiales sont ainsi en cours de généralisation alors qu'une assurance chômage est dans le pipe.
L'autre grand et déterminant chantier, est incontestablement celui de la politique étrangère et du renouveau de la diplomatie marocaine par lesquels le Royaume s'est indéniablement imposé comme Etat incontournable dans le concert des Nations. Le secret de ce succès implacable réside autant dans la forte personnalité et le charisme de SM Mohammed VI, que dans sa conception des relations internationales fondée sur le respect du droit international, la promotion de la paix et de la justice, la crédibilité et le respect des engagements, le pragmatisme, la pondération, la tolérance et la solidarité. Il a aussi pour secret la fermeté et l'intransigeance lorsqu'il s'agit de la défense de la marocanité du Sahara et de la préservation de l'intégrité territoriale du Maroc.
C'est ce dont le monde entier a pris note, le dossier du Sahara étant désormais le baromètre et le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international.
Les succès engrangés sur ce dossier sont autant de réconfort de la politique royale dont les fruits ne sont autres que les fortes et stratégiques alliances avec les plus grandes puissances occidentales, la coopération agissante avec les pays arabes du golf et les Etats africains, la reconnaissance de la marocanité du Sahara par les pays qui comptent au niveau international, arabe et africain.
C'est le sacre d'un travail de longue haleine qui a le grand mérite de faire hisser très haut l'étendard du Maroc et de faire du pays une authentique force de frappe vérifiable sur les plans économique, culturel et militaire.