A lire ou à écouter en podcast : (2.29 Mo)
2021 touche enfin à son terme ! Avec l’année qui l’a précédé, toutes deux ont tellement été ‘covidées’ qu’elles en sont à oublier. Même s’il n’y a rien d’autre que de l’espoir à nourrir pour que 2022 soit meilleure.
L’espoir que l’hystérie covidienne se dissipe aussi rapidement que possible, tout en sachant que les séquelles socioéconomiques de la pandémie vont peser pendant encore longtemps.
L’espoir d’avoir une durée de visibilité un peu plus étendue que le laps de temps que prend le Sras-Cov2 à développer un nouveau variant.
L’espoir que l’hostilité manifeste de nos chers voisins de l’Est ne mute pas en un bellicisme destructeur. La fièvre qui ronge la junte algérienne n’est pas moins inquiétante que la pandémie.
L’espoir également que les grandes puissances de la planète sachent raison garder et évitent de plonger l’espèce humaine dans un hiver nucléaire qui lui ferait regretter le réchauffement climatique.
C’est quant même idiot de faire subir à l’ensemble de l’humanité les conséquences d’une mésentente des pays occidentaux avec la Russie concernant l’extension de l’Otan toujours plus à l’Est.
Non plus à propos du statut de Taïwan ou de la politique régionale de l’Iran, autant de conflits potentiels pouvant entraîner mort et chaos à grande échelle.
L’humanité en a déjà assez avec un virus qui se joue d’elle en changeant souvent d’aspect, de mesures restrictives qui l’éreintent, autant sur le plan économique que psychologique, et d’une inflation qui ne cesse d’éroder le niveau de vie.
Car, pour la première fois de l’Histoire, les maux sont ‘équitablement’ partagés, toutes les populations de la planète se trouvant dans la même situation de crise multiforme, même si à différents degrés.
C’est là tout le paradoxe d’une pandémie qui a pourtant fait reculer le mondialisme et remis en selle les courants politiques souverainistes.
A l’échelle du Maroc, il est déjà un énorme espoir cultivé par la population : le succès du nouveau modèle de développement.
C’est de fait l’essentiel, ce dont les Marocains escomptent un mieux être, et non pas les tapages médiatiques suscités par des décisions et propos hasardeux de responsables politiques.
L’espoir fait vivre dit le proverbe, mais à la condition minimum pour les décideurs politiques de savoir le cultiver auprès des gouvernés.
Espérons que 2022 va combler tous nos espoirs.
L’espoir que l’hystérie covidienne se dissipe aussi rapidement que possible, tout en sachant que les séquelles socioéconomiques de la pandémie vont peser pendant encore longtemps.
L’espoir d’avoir une durée de visibilité un peu plus étendue que le laps de temps que prend le Sras-Cov2 à développer un nouveau variant.
L’espoir que l’hostilité manifeste de nos chers voisins de l’Est ne mute pas en un bellicisme destructeur. La fièvre qui ronge la junte algérienne n’est pas moins inquiétante que la pandémie.
L’espoir également que les grandes puissances de la planète sachent raison garder et évitent de plonger l’espèce humaine dans un hiver nucléaire qui lui ferait regretter le réchauffement climatique.
C’est quant même idiot de faire subir à l’ensemble de l’humanité les conséquences d’une mésentente des pays occidentaux avec la Russie concernant l’extension de l’Otan toujours plus à l’Est.
Non plus à propos du statut de Taïwan ou de la politique régionale de l’Iran, autant de conflits potentiels pouvant entraîner mort et chaos à grande échelle.
L’humanité en a déjà assez avec un virus qui se joue d’elle en changeant souvent d’aspect, de mesures restrictives qui l’éreintent, autant sur le plan économique que psychologique, et d’une inflation qui ne cesse d’éroder le niveau de vie.
Car, pour la première fois de l’Histoire, les maux sont ‘équitablement’ partagés, toutes les populations de la planète se trouvant dans la même situation de crise multiforme, même si à différents degrés.
C’est là tout le paradoxe d’une pandémie qui a pourtant fait reculer le mondialisme et remis en selle les courants politiques souverainistes.
A l’échelle du Maroc, il est déjà un énorme espoir cultivé par la population : le succès du nouveau modèle de développement.
C’est de fait l’essentiel, ce dont les Marocains escomptent un mieux être, et non pas les tapages médiatiques suscités par des décisions et propos hasardeux de responsables politiques.
L’espoir fait vivre dit le proverbe, mais à la condition minimum pour les décideurs politiques de savoir le cultiver auprès des gouvernés.
Espérons que 2022 va combler tous nos espoirs.