Par Kaisse Ben Yahia
Le bonheur ce rêve auquel aspire l’humanité
Dans mes rêves
La nuit, quand la rue s’apaise
Quand la lumière se feutre
Le feu s’éteint en braise
Le corps s’habille en neutre
La parole devient murmure
La brise s’entend dehors
Quand le chef, léger, s’épure
Des sens qui enchaînent le corps
Les astres s’égrènent au ciel
Semés au gré du silence
Déroulé au pied de l’autel
Qui s’apprête à ta présence
J’entends ton hymne à l’amour
Derrière le voile des paupières
Je vois, au loin, se lever le jour
Du rêve qui chasse mes chimères
Dans mes rêves
La nuit, quand la rue s’apaise
Quand la lumière se feutre
Le feu s’éteint en braise
Le corps s’habille en neutre
La parole devient murmure
La brise s’entend dehors
Quand le chef, léger, s’épure
Des sens qui enchaînent le corps
Les astres s’égrènent au ciel
Semés au gré du silence
Déroulé au pied de l’autel
Qui s’apprête à ta présence
J’entends ton hymne à l’amour
Derrière le voile des paupières
Je vois, au loin, se lever le jour
Du rêve qui chasse mes chimères
Je m’y laisse trainer, tout béat
De me lever dans ce monde d’envie
Où l’amour, toi et moi
Ont seuls droit à la vie
Je te prends la main, en douceur
Je l’embrasse, la met sur mon cœur
Je te l’offre, encore une fois
Ce soir, en gage de mes émois.
Rédigé par Kaisse Ben Yahia
De me lever dans ce monde d’envie
Où l’amour, toi et moi
Ont seuls droit à la vie
Je te prends la main, en douceur
Je l’embrasse, la met sur mon cœur
Je te l’offre, encore une fois
Ce soir, en gage de mes émois.
Rédigé par Kaisse Ben Yahia