Cet événement, qui a acquis une renommée au fil des années, promet d'être particulièrement attendu cette année. Selon l'Association Essaouira-Mogador, l'organisatrice, l'héritage de la civilisation andalouse, issue de la rencontre des cultures musulmanes, juives et chrétiennes, est plus pertinent que jamais. Ce festival célèbre la richesse des diversités culturelles tout en mettant en avant des valeurs universelles partagées.
Pour cette édition, plus d’une centaine de musiciens, chanteurs et danseurs seront présents, venant non seulement du Maroc, mais aussi d'Espagne, de France et des Pays-Bas. Le programme comprendra une quinzaine de concerts inédits, illustrant la diversité musicale qui caractérise Essaouira. Parmi les moments forts, le flamenco sera largement représenté, avec des performances quotidiennes. Le jeudi soir, la talentueuse Leonor Leal se produira sous la direction du Maestro Omar Metioui, et pour la première fois, José Mari Bandera, le neveu de Paco de Lucia, se produira en duo avec le pianiste Diego Amador.
Des créations exclusives et des échanges culturels
Le festival mettra également en avant des créations uniques, telles que la première représentation marocaine de la collaboration entre Vicente Gelo et Jalal Chekara, qui fusionnera des éléments judéo-arabo-andalous. De plus, le concert « dos Medinas Blancas » évoquera l'œuvre d'Ibn Bâjja avec des pièces comme « Lamma Bada Yatathanna », interprétée par Nabila Maan aux côtés de Carmen Paris.
Chaque matin, des forums seront organisés à Bayt Dakira, abordant cette année le thème « L’importance du Lien, l’importance du Lieu ». Les concerts animeront les après-midis et les nuits à Dar Souiri, culminant chaque soir sur la grande scène « Al Massira ». Le festival rendra hommage à des figures emblématiques de la musique chgouri et accueillera l'Orchestre Andalou d'Amsterdam, offrant un cadre exceptionnel à l’étoile montante d'Essaouira, la Maalma Hind Ennaira.
Cette édition promet ainsi d'être un véritable festin culturel, célébrant la richesse de la musique andalouse et ses influences variées.
Pour cette édition, plus d’une centaine de musiciens, chanteurs et danseurs seront présents, venant non seulement du Maroc, mais aussi d'Espagne, de France et des Pays-Bas. Le programme comprendra une quinzaine de concerts inédits, illustrant la diversité musicale qui caractérise Essaouira. Parmi les moments forts, le flamenco sera largement représenté, avec des performances quotidiennes. Le jeudi soir, la talentueuse Leonor Leal se produira sous la direction du Maestro Omar Metioui, et pour la première fois, José Mari Bandera, le neveu de Paco de Lucia, se produira en duo avec le pianiste Diego Amador.
Des créations exclusives et des échanges culturels
Le festival mettra également en avant des créations uniques, telles que la première représentation marocaine de la collaboration entre Vicente Gelo et Jalal Chekara, qui fusionnera des éléments judéo-arabo-andalous. De plus, le concert « dos Medinas Blancas » évoquera l'œuvre d'Ibn Bâjja avec des pièces comme « Lamma Bada Yatathanna », interprétée par Nabila Maan aux côtés de Carmen Paris.
Chaque matin, des forums seront organisés à Bayt Dakira, abordant cette année le thème « L’importance du Lien, l’importance du Lieu ». Les concerts animeront les après-midis et les nuits à Dar Souiri, culminant chaque soir sur la grande scène « Al Massira ». Le festival rendra hommage à des figures emblématiques de la musique chgouri et accueillera l'Orchestre Andalou d'Amsterdam, offrant un cadre exceptionnel à l’étoile montante d'Essaouira, la Maalma Hind Ennaira.
Cette édition promet ainsi d'être un véritable festin culturel, célébrant la richesse de la musique andalouse et ses influences variées.