Les finances publiques du Maroc continuent de se resserrer. Selon les dernières données du ministère des Finances, les charges d'intérêts de la dette publique ont augmenté de 18,6 % à fin août 2024, atteignant des niveaux préoccupants. Cette hausse s’explique par la montée des besoins de financement du pays, qui s’élèvent à 45,2 milliards de dirhams (Mds de DH), malgré une baisse par rapport à l'année précédente. En parallèle, le financement extérieur, qui a enregistré un flux net négatif de 5,4 Mds de DH, n’a pas réussi à combler le déficit.
Cette situation pourrait peser lourdement sur les finances publiques à long terme, alors que le pays tente de maintenir un équilibre budgétaire tout en finançant d’importants projets d'infrastructures et de développement. Les économistes estiment que la pression de la dette risque d’amplifier les restrictions budgétaires, affectant les services publics et les dépenses sociales.
Des cas similaires dans des pays comme la Grèce ou l’Argentine, où la dette publique est devenue ingérable, rappellent que la gestion des finances publiques est une question cruciale pour éviter une crise de la dette. Le Maroc devra donc réévaluer sa stratégie financière pour éviter une spirale d’endettement incontrôlée, notamment en optimisant ses ressources fiscales et en diversifiant ses sources de financement extérieur.
Cette situation pourrait peser lourdement sur les finances publiques à long terme, alors que le pays tente de maintenir un équilibre budgétaire tout en finançant d’importants projets d'infrastructures et de développement. Les économistes estiment que la pression de la dette risque d’amplifier les restrictions budgétaires, affectant les services publics et les dépenses sociales.
Des cas similaires dans des pays comme la Grèce ou l’Argentine, où la dette publique est devenue ingérable, rappellent que la gestion des finances publiques est une question cruciale pour éviter une crise de la dette. Le Maroc devra donc réévaluer sa stratégie financière pour éviter une spirale d’endettement incontrôlée, notamment en optimisant ses ressources fiscales et en diversifiant ses sources de financement extérieur.