Tous les intervenants se sont accordés sur la nécessité d’un financement novateur, à même de booster le secteur privé, de stimuler la croissance et de permettre la relance économique du continent africain. L’accent a été mis aussi sur le soutien des innovations financières pouvant atténuer les effets de la crise sanitaire sur les économies africaines.
L’Afrique, a plus que jamais, besoin, en cette période de pandémie mondiale due à a Covid 19, de renforcer durablement la résilience du secteur privé.
Une reconstruction qui devrait être mise à jour à travers la mise en place de stratégies pérennes et des politiques adaptées et spécifiques à chaque pays pour accélérer leur croissance économique. Ces efforts s’inscrivent dans le cadre des Objectifs du Développement Durable(ODD) à l’horizon de 2030, mais aussi du programme de l'Union africaine 2063.
Or, pour atteindre les ODD qui ciblent la réduction de la pauvreté et des inégalités, la lutte contre le changement climatique et la construction d’infrastructures résilientes en Afrique, il faudrait 1,3 billion de dollars par an.
Ce coût estimé par les Nations Unies est en hausse, vu le développement de la croissance démographique, estimée à 45% entre 2020 et 2030.
L’Afrique, a plus que jamais, besoin, en cette période de pandémie mondiale due à a Covid 19, de renforcer durablement la résilience du secteur privé.
Une reconstruction qui devrait être mise à jour à travers la mise en place de stratégies pérennes et des politiques adaptées et spécifiques à chaque pays pour accélérer leur croissance économique. Ces efforts s’inscrivent dans le cadre des Objectifs du Développement Durable(ODD) à l’horizon de 2030, mais aussi du programme de l'Union africaine 2063.
Or, pour atteindre les ODD qui ciblent la réduction de la pauvreté et des inégalités, la lutte contre le changement climatique et la construction d’infrastructures résilientes en Afrique, il faudrait 1,3 billion de dollars par an.
Ce coût estimé par les Nations Unies est en hausse, vu le développement de la croissance démographique, estimée à 45% entre 2020 et 2030.
Recommandations
Ces recommandations qui ont besoin du renforcement du secteur privé sont également dans la ligne de mire de la Zone de libre-échange continentale africaine. La ZLECAf vise « à faire croître la classe moyenne, à accroître l'utilisation de la technologie, à promouvoir une urbanisation rapide et à accroître les opportunités de chaînes de valeur régionales et mondiales, pour les entreprises africaines, en tant que moteurs stratégiques de l'économie croissante en Afrique ».
Dans leur analyse du REA, les intervenants étaient sommés d’examiner, en période Covid et post Covid, la valeur ajoutée des financements et des outils novateurs sur pour tout ce qui est infrastructures, agriculture et technologie.
PME de la région africaine, qu’elles soient sociales, professionnelles, publiques-privées ou autres, ont besoin de politiques et de pratiques novatrices pour sortir de ce gouffre et permettre une stabilité financière. La finalité est d’atteindre une croissance inclusive, génératrices d’emplois et moyen de subsistance.
Certaines recommandations suggérées relèvent l’importance de la réglementation du secteur des services bancaires et financiers. A ce niveau, il est à rappeler que la fragmentation de la réglementation entrave le développement des technologies financières (FinTech). Ainsi, la mise à jour de la législation et des politiques réglementaires du secteur financier ainsi que la promotion de financements novateurs du secteur privé apportent une meilleure stabilisation.
Les sources de financement sont à prospecter et puisés dans les marchés financiers privés et, pour une meilleure efficacité, être innovants, proactifs et preneurs de risques.
L’Afrique a aussi besoin de banques et d’institutions fortes pour que le marché fonctionne, tout en adoptant la technologie à même de renforcer l’inclusion financière.
Le rapport appelle également les pays africains à adopter la stratégie de transformation numérique du continent et la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) pour rationaliser les politiques et la réglementation.
Dans leur analyse du REA, les intervenants étaient sommés d’examiner, en période Covid et post Covid, la valeur ajoutée des financements et des outils novateurs sur pour tout ce qui est infrastructures, agriculture et technologie.
PME de la région africaine, qu’elles soient sociales, professionnelles, publiques-privées ou autres, ont besoin de politiques et de pratiques novatrices pour sortir de ce gouffre et permettre une stabilité financière. La finalité est d’atteindre une croissance inclusive, génératrices d’emplois et moyen de subsistance.
Certaines recommandations suggérées relèvent l’importance de la réglementation du secteur des services bancaires et financiers. A ce niveau, il est à rappeler que la fragmentation de la réglementation entrave le développement des technologies financières (FinTech). Ainsi, la mise à jour de la législation et des politiques réglementaires du secteur financier ainsi que la promotion de financements novateurs du secteur privé apportent une meilleure stabilisation.
Les sources de financement sont à prospecter et puisés dans les marchés financiers privés et, pour une meilleure efficacité, être innovants, proactifs et preneurs de risques.
L’Afrique a aussi besoin de banques et d’institutions fortes pour que le marché fonctionne, tout en adoptant la technologie à même de renforcer l’inclusion financière.
Le rapport appelle également les pays africains à adopter la stratégie de transformation numérique du continent et la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) pour rationaliser les politiques et la réglementation.