A lire ou à écouter en podcast :
Par Dr Anwar CHERKAOUI
Deux greffes hépatiques en 48h, 4 opérations chirurgicales concomittantes, 2 pour le prélèvement et deux pour la greffe.
Cela nécessite une coordination et une organisation exceptionnelles.
Et cela a été le cas. Bravo.
On ne pet qu’applaudir cette réalisation chirurgicale.
Mais, il faut cesser de crier que c’est la première fois.
Il faut que cela devienne de la routine dans un pays comme le Maroc.
Le Royaume dispose de compétences humaines hautement qualifiées.
Autant, il faut encourager la coopération internationale, autant il faut compter et encourager les équipes nationales. Cela sera plus rentable en plus.
Un grand chirurgien marocain, excellent technicien dans la greffe hépatique, vient de partir à la retraite de l’hôpital Ibn Sina : Pr Abdelkader BELKOUCHI.
C’est une erreur stratégique de le laisser partir.
Le ministre de la Santé, voir le premier ministre ont l’obligation de faire appel à ses compétences.
Il faut le nommer " Monsieur Greffe hépatique du Royaume du Maroc".
Pour sa fonction principale, il n'a pas besoin de gros moyens.
Signer un contrat avec cet expert national en greffe hépatique pour qu’il sillonne tous les CHU du Royaume et leur transmettent son savoir faire.
Je pense que l’idée est simple et claire, aux responsables de la santé de ce pays d’agir et de passer à son exécution.
Autres leçon essentielle des dernières greffes hepatiques réalisées dans le CHU IBN est la disponibilités des greffons à partir de donneurs vivants.
Un père de 53 ans qui donne une partie de son foie à sa fille de 19 ans et l’autre greffe grâce au don don d’une fille de la partie droite de son foie à sa mère.
La Marocaine et le marocain sont prêts à faire don d’une partie du foie ( la science médicale le permet sans aucun danger pour le donneur.
Des campagnes de sensibilisation sur le don d’organes s’impose pour encourager les autres greffes : Rein, cornée, cœur, os,......
Cela nécessite une coordination et une organisation exceptionnelles.
Et cela a été le cas. Bravo.
On ne pet qu’applaudir cette réalisation chirurgicale.
Mais, il faut cesser de crier que c’est la première fois.
Il faut que cela devienne de la routine dans un pays comme le Maroc.
Le Royaume dispose de compétences humaines hautement qualifiées.
Autant, il faut encourager la coopération internationale, autant il faut compter et encourager les équipes nationales. Cela sera plus rentable en plus.
Un grand chirurgien marocain, excellent technicien dans la greffe hépatique, vient de partir à la retraite de l’hôpital Ibn Sina : Pr Abdelkader BELKOUCHI.
C’est une erreur stratégique de le laisser partir.
Le ministre de la Santé, voir le premier ministre ont l’obligation de faire appel à ses compétences.
Il faut le nommer " Monsieur Greffe hépatique du Royaume du Maroc".
Pour sa fonction principale, il n'a pas besoin de gros moyens.
Signer un contrat avec cet expert national en greffe hépatique pour qu’il sillonne tous les CHU du Royaume et leur transmettent son savoir faire.
Je pense que l’idée est simple et claire, aux responsables de la santé de ce pays d’agir et de passer à son exécution.
Autres leçon essentielle des dernières greffes hepatiques réalisées dans le CHU IBN est la disponibilités des greffons à partir de donneurs vivants.
Un père de 53 ans qui donne une partie de son foie à sa fille de 19 ans et l’autre greffe grâce au don don d’une fille de la partie droite de son foie à sa mère.
La Marocaine et le marocain sont prêts à faire don d’une partie du foie ( la science médicale le permet sans aucun danger pour le donneur.
Des campagnes de sensibilisation sur le don d’organes s’impose pour encourager les autres greffes : Rein, cornée, cœur, os,......