Quand les caméras scrutent, la CNDP veille à protéger vos données
Cependant, cette avancée soulève des questions cruciales liées à la protection de la vie privée. C’est dans ce contexte que la Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP) a annoncé le lancement d’auditions pour élaborer une délibération garantissant un équilibre entre sécurité et respect des droits fondamentaux des citoyens.
Dans un communiqué diffusé le 21 mars 2025, la CNDP a rappelé que son initiative vise à s’assurer que la loi 09-08, régissant la protection des données personnelles au Maroc, soit interprétée de manière uniforme par tous les acteurs concernés. La commission insiste sur la nécessité de réfléchir à des garanties adaptées aux défis posés par les nouvelles technologies, notamment la reconnaissance faciale, qui pourrait compromettre la confidentialité des informations personnelles si elle est mal encadrée.
La CNDP souligne également que la gestion de la vidéosurveillance varie d’un pays à l’autre selon les cadres juridiques, les valeurs culturelles et les priorités sociologiques. Par exemple, dans certaines régions, la reconnaissance faciale est perçue comme un outil essentiel pour la sécurité publique, tandis que dans d’autres, elle est critiquée pour son intrusion dans la vie privée.
Pour la CNDP, il est impératif de mener une réflexion approfondie et inclusive, prenant en compte les principes constitutionnels, les attentes des citoyens et l’intérêt public. Cette démarche vise à instaurer un cadre clair, qui permette d’exploiter les avantages de la vidéosurveillance tout en minimisant les risques pour la vie privée. En somme, il s’agit de trouver un juste équilibre entre innovation technologique et respect des droits fondamentaux.
Dans un communiqué diffusé le 21 mars 2025, la CNDP a rappelé que son initiative vise à s’assurer que la loi 09-08, régissant la protection des données personnelles au Maroc, soit interprétée de manière uniforme par tous les acteurs concernés. La commission insiste sur la nécessité de réfléchir à des garanties adaptées aux défis posés par les nouvelles technologies, notamment la reconnaissance faciale, qui pourrait compromettre la confidentialité des informations personnelles si elle est mal encadrée.
La CNDP souligne également que la gestion de la vidéosurveillance varie d’un pays à l’autre selon les cadres juridiques, les valeurs culturelles et les priorités sociologiques. Par exemple, dans certaines régions, la reconnaissance faciale est perçue comme un outil essentiel pour la sécurité publique, tandis que dans d’autres, elle est critiquée pour son intrusion dans la vie privée.
Pour la CNDP, il est impératif de mener une réflexion approfondie et inclusive, prenant en compte les principes constitutionnels, les attentes des citoyens et l’intérêt public. Cette démarche vise à instaurer un cadre clair, qui permette d’exploiter les avantages de la vidéosurveillance tout en minimisant les risques pour la vie privée. En somme, il s’agit de trouver un juste équilibre entre innovation technologique et respect des droits fondamentaux.
