Le projet de dessalement de Veolia sera implanté à proximité de Rabat, sur la côte atlantique marocaine.
Ce partenariat a été scellé lors de la visite officielle du président français Emmanuel Macron au Maroc, prévue du 28 au 30 octobre 2024, et fait partie d’une série d’accords bilatéraux stratégiques renforçant les liens entre les deux pays.
Conçu dans le cadre d’un partenariat public-privé, il inclura la construction, le financement et l’exploitation de l’usine par Veolia pour une durée de 35 ans. Avec une capacité de traitement de 822 000 m³ d’eau potable par jour, cette infrastructure produira chaque année environ 300 millions de m³, ce qui contribuera à approvisionner en eau les régions de Rabat-Salé-Kénitra et Fès-Meknès. Ces zones, confrontées à des besoins croissants, bénéficieront ainsi d’un approvisionnement fiable en eau pour subvenir aux besoins de près de 9,3 millions de personnes.
Ce projet s’inscrit dans la vision marocaine de diversification des ressources en eau et de réduction de la dépendance aux précipitations. Construit pour fonctionner principalement à partir d’énergie décarbonée et renouvelable, ce système vise à réduire son empreinte écologique, garantissant ainsi une approche durable qui répond aux exigences environnementales et aux défis liés à la raréfaction de l’eau douce.
Veolia, en tant que leader mondial des solutions de gestion de l’eau, mobilisera son expertise dans le dessalement pour construire une usine exemplaire en termes de rendement, d’innovation et de respect de l’environnement. Selon le communiqué de l’entreprise, ce projet vise à devenir une référence mondiale en matière de technologies de dessalement, répondant aux exigences croissantes en matière de sécurité hydrique et de développement durable.
Ce projet vise ainsi non seulement à renforcer la sécurité en eau du Maroc, mais aussi à s’inscrire dans un modèle de développement qui respecte les exigences environnementales et climatiques actuelles.
Cette visite d’État, ponctuée par des accords économiques et industriels comme ce projet de dessalement, met en lumière la volonté des deux pays de renforcer leur coopération, avec des objectifs partagés en matière de développement durable, d’innovation industrielle et de sécurité des ressources.
Conçu dans le cadre d’un partenariat public-privé, il inclura la construction, le financement et l’exploitation de l’usine par Veolia pour une durée de 35 ans. Avec une capacité de traitement de 822 000 m³ d’eau potable par jour, cette infrastructure produira chaque année environ 300 millions de m³, ce qui contribuera à approvisionner en eau les régions de Rabat-Salé-Kénitra et Fès-Meknès. Ces zones, confrontées à des besoins croissants, bénéficieront ainsi d’un approvisionnement fiable en eau pour subvenir aux besoins de près de 9,3 millions de personnes.
Ce projet s’inscrit dans la vision marocaine de diversification des ressources en eau et de réduction de la dépendance aux précipitations. Construit pour fonctionner principalement à partir d’énergie décarbonée et renouvelable, ce système vise à réduire son empreinte écologique, garantissant ainsi une approche durable qui répond aux exigences environnementales et aux défis liés à la raréfaction de l’eau douce.
Veolia, en tant que leader mondial des solutions de gestion de l’eau, mobilisera son expertise dans le dessalement pour construire une usine exemplaire en termes de rendement, d’innovation et de respect de l’environnement. Selon le communiqué de l’entreprise, ce projet vise à devenir une référence mondiale en matière de technologies de dessalement, répondant aux exigences croissantes en matière de sécurité hydrique et de développement durable.
Ce projet vise ainsi non seulement à renforcer la sécurité en eau du Maroc, mais aussi à s’inscrire dans un modèle de développement qui respecte les exigences environnementales et climatiques actuelles.
Cette visite d’État, ponctuée par des accords économiques et industriels comme ce projet de dessalement, met en lumière la volonté des deux pays de renforcer leur coopération, avec des objectifs partagés en matière de développement durable, d’innovation industrielle et de sécurité des ressources.